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Deux téléspectateurs juifs ont défendu vaillamment, voire brillamment, la position d’Israël et de nombreux Juifs, face au nouveau lynchage médiatique dont sont l’objet l’Etat d’Israël et son armée. Face à eux, outre le Modérateur, qui a été discret et correct, deux « fauves » de la presse, Eric Monier et Charles Enderlin qui, piqués au vif, se sont livrés, l’un à un plaidoyer pro domo arbitraire et pitoyable, l’autre, fidèle à son image, à une attaque en règle de l’armée israélienne et à un rejet catégorique des reproches, pourtant modérés, adressés par les deux internautes juifs qui ont pris part au débat aux journalistes et à la Rédaction de la chaîne France 2. Le texte ci-après est la transcription intégrale de leurs échanges, souvent vigoureux. Il est suivi de mes commentaires, critiques, voire acerbes, là où il m’est apparu que les propos des journalistes méritaient un tel traitement. (Menahem Macina).
Dans une déclaration adoptée samedi, le Quatuor pour le Moyen-Orient a approuvé la proposition de l’Union européenne de mettre en place un mécanisme de financement international temporaire pour la Palestine qui permettra d’acheminer directement de l’aide aux Palestiniens.
La colère des habitants de Sdérot
Maariv-Yediot Aharonot : Les habitants de Sdérot en ont assez d’être la cible des missiles Kassem palestiniens. Pour protester contre le sentiment profond d’insécurité qui s’est installé dans la ville, ils ont décidé de s’y retrancher et d’en interdire l’accès a des véhicules venant de l’extérieur. De même les établissements scolaires feront grève et par conséquent les jeunes écoliers de Sdérot peuvent d’ores et déjà partir en vacances ! Cependant sur décision du maire Elie Moyal, ces mesures n’entreront en vigueur qu’après la visite que le Président de l’Etat Moché Katzav doit effectuer à Sdérot ce matin.
On se souvient des dégâts médiatiques, immenses et irréversibles, causés à l’image d’Israël par le reportage de Charles Enderlin, l’inénarrable correspondant de France 2 en Israël, sur le mitraillage - réel ou mis en scène - de l’enfant Al-Dura, au début de la seconde Intifada.
_ Suite aux remises en question dont ce document vidéo et la crédibilité du journaliste ont été l’objet dans la presse, Enderlin est devenu prudent. Ce qui ne l’empêche pas de produire, de temps à autre, des reportages, dont le moins qu’on puisse en dire est qu’ils ne manquent pas une occasion de mettre en exergue des faits - réels, ou revus et corrigés - montrant Israël sous un jour défavorable (1).
Les grévistes de la faim de Sdérot ont le sentiment que leur mouvement passe plus ou moins inaperçu et que la presse israélienne se désintéresse de leur sort. C’est ce que certains d’entre eux ont déclaré ce dimanche, exprimant ainsi leur amertume et leur déception.
En attendant, les habitants de la ville ne connaissent aucun répit, soumis aux attaques incessantes des terroristes du nord de la bande de Gaza qui multiplient leurs tirs de roquettes. Les projectiles se sont remis à pleuvoir sur la cité « après un week-end relativement calme », comme le précisent les médias.
Le Hamas et le Fatah sont proches d’un accord sur une plate-forme politique concernant la création d’un Etat palestinien au côté d’Israël, mais des questions cruciales sont encore en suspens, ont déclaré dimanche des négociateurs et responsables palestiniens.
Les grandes puissances actives au Proche-Orient se sont mises d’accord sur un schéma d’aide d’urgence à la population palestinienne permettant de contourner le gouvernement dirigé par le Hamas, boycotté pour son refus de reconnaître Israël.
Dans un communiqué publié samedi, le Quartet, qui réunit l’Union européenne, les Nations unies, les Etats-Unis et la Russie, affirme reprendre à son compte la proposition de l’UE d’un mécanisme temporaire qui prévoit une aide permettant de répondre aux besoins de première nécessité des Palestiniens les plus pauvres.
Les télévisions du monde entier ont diffusé, le vendredi 9 juin 2006, les images d’une jeune fille se jetant au sol après la mort de sa famille sur une plage de Gaza.
Le lendemain, les principaux quotidiens français titraient sur ce drame en accusant la marine israélienne d’avoir tiré un obus sur cette famille.
Il est dommage que le démenti de la commission d’enquête israélienne concernant les causes de la mort d’une famille palestinienne à la suite d’une explosion advenue sur une plage de Gaza soit resté lettre morte ou alors évacué d’un revers de main (lire aussi l’éditorial de Véronique Chemla pour Guysen Israël News et l’article de Média-Ratings : La famille de l’orpheline de la plage de Gaza a été victime d’une mine du Hamas et non d’un obus israélien ).
Une ONG aurait par exemple, le 14 juin, repoussé, d’après CNN, la possibilité que cela ne soit pas un obus israélien... peut-être pas tiré le jour en question, mais tombé là il y a longtemps, oublié par tous. Pourtant, on ne voit guère pourquoi cette affirmation, sans preuves, ait rendu silencieux tout le monde ou alors compréhensif comme un dénommé Pierre Marcelle, tendant d’expliquer pourquoi les Palestiniens n’ont pas d’autres armes que la manipulation des images (dans Libération du 14 juin).
Patrick Saint-Paul, correspondant du Figaro en Israël, fait il moins ‘’vomir’’ à la lecture de ses ‘’articles’’ que son confrère, de Libération, Pierre Marcelle ? Il semblerait que non. D’autant plus qu’il est sur place et a donc tous les moyens pour vérifié la sincérité des informations qu’il nous présente.
La lecture de ce reportage sur la misère à Gaza City est pathétique.
Les Palestiniens « de la rue » finiront-ils par admettre qu’ils sont responsables de leur propre malheur ?
L’aide américaine et étrangère et les transferts de taxes israéliennes ont soutenu environ un tiers de tous les Palestiniens
La trêve, disaient-ils !
Le lendemain de la proposition du gouvernement du Hamas de rétablir la trêve avec l’Etat hébreu, cinq roquettes artisanales ont été tirées dans la journée sans faire de victimes du côté israélien, selon l’armée israélienne.
Même si ces tirs ne sont pas directement dus au Hamas, celui-ci contrôle assez de milices pour ne pas rester dans l’ignorance des préparatifs de tirs. Ceux-ci risquent de déclencher une sévère riposte israélienne.
Ces tirs de roquettes ne mettent pas seulement en danger la vie de citoyens israéliens, enfants et adultes confondus. Ils mettent en danger l’économie même de la région de Sdérot. Plusieurs centaines de salariés refusent de se rendre au travail dans les entreprises les plus exposées. Le chiffre d’affaire a baissé dangereusement ces dernières semaines.
Pour Charles Enderlin et Talal Abou Rahma, le duo célèbre auteur de la fameuse controverse de Netzarim (1), les automatismes restent les mêmes près de 6 ans après.
Alors que les preuves tangibles de la responsabilité du Hamas s’accumulent dans la tragédie qui a coûté la vie à sept civils palestiniens sur une plage de Gaza, nos deux envoyés permanents continuent de préférer la thèse initiale schattnérienne (lire). Leur stratagème consiste, cette fois-ci, à mettre sur un pied d’égalité les résultats d’une enquête interne de l’armée israélienne, connue pour ne jamais se dérober devant ses responsabilités, et les déclarations d’un obscur représentant d’une ONG américaine inconnue (2).
Membre fondateur du FPLP, élément important de la direction et du Bureau Politique de l’Organisation jusqu’en 93, premier responsable pendant très longtemps de la région Liban-Syrie, représentant des réfugiés au Conseil National Palestinien jusqu’à ce jour.
A l’heure où la rivalité entre le Fatah et le Hamas embrase les territoires palestiniens, la question du dialogue avec les islamistes resurgit. D’autant que le référendum du 26 juillet, voulu par Mahmoud Abbas, a pour enjeu la reconnaissance d’Israël.
Le triomphe électoral des islamistes du Hamas lors des législatives du 25 janvier a pris les autorités israéliennes par surprise. Personne n’avait prévu que le Fatah, le parti historique de Yasser Arafat, subirait une telle correction. Dans la foulée de ce séisme, Ehud Olmert, alors Premier ministre par intérim, décidait de rompre les maigres liens encore maintenus avec l’Autorité palestinienne. La communauté internationale lui emboîtait le pas. Ce boycottage, qui pénalise avant tout la population, est-il pertinent ? Deux Israéliens - Gerald Steinberg, un universitaire classé à droite, et Gershon Baskin, un chercheur de gauche - ouvrent le débat.
Avec la publication cette semaine des résultats d’une vaste enquête destinée à prendre la température de l’opinion publique internationale sur Israël et les conflits au Moyen-Orient, on peut désormais affirmer qu’Israël est sorti de l’impasse médiatique dans laquelle elle était plongée depuis le déclenchement de la seconde Intifada.
Bien que la prudence s’impose face à l’analyse de cette étude, on peut néanmoins se réjouir de l’évolution des mentalités occidentales sur le conflit. Rien n’est plus blanc ou noir comme voulait bien le faire croire les médias, et la réalité ne se résume plus à une équation simpliste mettant en scène des oppresseurs et des opprimés.
Le Premier Ministre israélien s’est prêté à une rencontre avec la communauté juive de France lors de sa visite à Paris, le 15 juin 2006.
Menaces d’enlèvements de citoyens israéliens
Yediot Aharonot (manchette) : Toutes les organisations terroristes palestiniennes, du Fatah au Hamas en passant par le Djihad, projettent des enlèvements de citoyens israéliens. Ils entendent se servir d’eux comme monnaie d’échanges pour obtenir la libération de prisonniers détenus dans les prisons israéliennes.
Tous les quotidiens : Hier, deux jeunes filles qui faisaient de l’auto-stop sur l’une des routes de Samarie ont failli être kidnappés par des Palestiniens. L’une des deux jeunes filles a résisté à ses agresseurs et pendant ce temps la seconde a eu le temps de s’enfuir en courant. Au bout de quelques dizaines de secondes, une jeep militaire est passée devant la station d’auto-stop. Les ravisseurs palestiniens ont pris peur et se sont enfuis. L’officier qui conduisait la jeep a pu les rattraper et les arrêter.
C’était une autre de ces images qui font instantanément le tour du monde. Une jeune palestinienne, hurlant son chagrin désespéré, pleurant son père, sa belle-mère et cinq frères et sœurs, morts, tués par une explosion sur la plage de Gaza. Puis vint le blâme du président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas (c’est un « modéré ») qui désigna aussitôt ces meurtres comme un acte de « génocide » israélien, et, pour dramatiser le crime, adopta légalement la fillette endeuillée.
La couverture sensationnelle et les accusations sensationnelles soulèvent la question évidente : Pourquoi les Israéliens bombardent-ils une famille paisible sur une plage ?
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