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La cause est entendue. Pour la majorité des médias occidentaux, une fois de plus, le “méchant” est clairement identifié. Cette fois ce ne sont pas ces horribles Américains en Irak mais, comme bien souvent, ces épouvantables Israéliens.
On les savait déjà très méchants, errant à la tombée de la nuit, comme des bêtes assoiffées de sang, le doigt sur la détente du fusil d’assaut, à la recherche d’un malheureux enfant palestinien à flinguer.
On sait désormais qu’ils sont encore bien pires que cela : ces affreux n’ont-ils pas pris le risque de ruiner les efforts de paix du gouvernement palestinien (légitimement élu) en menant une opération militaire à Gaza, ce parfait exemple de ville harmonieuse et absolument sécurisée ?

Le président iranien a une nouvelle fois appelé à la « disparition du régime sioniste », lors d’une conférence retransmise à la télévision. Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad s’est prononcé samedi 8 juillet pour la « disparition du régime sioniste », à l’occasion d’une conférence régionale sur la sécurité en Irak, retransmise à la télévision. Il a ajouté qu’il fallait « l’installation d’un régime palestinien légal sur toute la Palestine ». « Le problème de fond dans le monde islamique est l’existence du régime sioniste, et le monde islamique et la région doivent se mobiliser pour faire disparaître ce problème », a-t-il aussi déclaré.

Pluie de missiles sur les villes israéliennes, franchissement de la “barrière de sécurité”, enlèvements, riposte énergique. L’héritage stratégique de Sharon vole en éclats. Vers une huitième guerre israélo-arabe ?
Inexorablement, le Proche-Orient retourne vers la guerre. Le 4 juillet au soir, le Conseil de sécurité des Nations unies se réunissait d’urgence après des tirs de missiles palestiniens Kassam sur Ashkelon, une cité balnéaire située à une soixantaine de kilomètres de Tel-Aviv. Une opération revendiquée par les Brigades Ezzedine al-Kassam, la branche militaire du Hamas. Le 5 au matin, le cabinet israélien se réunissait à son tour. « Cette attaque aura de lourdes conséquences », déclarait le premier ministre, Ehud Olmert.

Le Premier ministre palestinien, Ismaïl Haniyeh, a lancé un appel à l’arrêt des combats dans la bande de Gaza où les forces israéliennes ont tué une quarantaine d’activistes palestiniens ces derniers jours.
Quelques heures avant la déclaration du chef du gouvernement Hamas, les forces israéliennes s’étaient retirées de la plus grande partie du nord du territoire palestinien. Des accrochages ont en revanche éclaté à la périphérie de la ville de Gaza, causant la mort de trois Palestiniens, dont un policier.

Le Premier ministre Ehud Olmert samedi a rejeté une offre de cessez-le-feu proposée par le Premier ministre palestinien, Ismail Haniye
Olmert ne sera pas d’accord avec une trêve avant que les terroristes du Hamas dirigés par Haniyeh ne libèrent le soldat israélien Gilad Shalit, qui ils ont capturé presque il y a deux semaines, ont dit les officiels de la présidence.

1.Opération militaire israélienne dans le nord de la bande de Gaza
Tous les quotidiens : Violents affrontements entre forces israéliennes et palestiniennes au nord de la bande de Gaza, au premier jour de l’opération « Chênes du Bashan. Un soldat israélien, Yehouda Bassel , 21 ans a été tué apparemment par des tirs de ses camarades ou par un tireur d’élite palestinien dans Beth Layieh, 23 Palestiniens, pour la plupart armés, tués au cours de ces affrontements.

Colette Avital, députée à la Knesset était à Bruxelles du 3 au 7 juillet pour la session annuelle de la conférence parlementaire de l’OSCE, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe.

Tout récemment, les différentes factions palestiniennes se sont mises d’accord sur un texte qui a été présenté dans l’ensemble de la presse internationale comme étant une « reconnaissance implicite » de l’État d’Israël.
Cette qualification appelle des commentaires de nature sémantique et juridique. Ce texte constitue-t-il une reconnaissance véritable et effective au sens juridique du terme ? Aussi, dans quelle mesure son caractère implicite pose-t-il problème ?

C’est une grande émotion pour moi que de participer à l’inauguration ici, en France, au nom de l’Etat d’Israël, de la Place Théodore Herzl.
Cet honneur, fait au Père fondateur du sionisme, dont la vie et l’œuvre visionnaire mena à la fondation du foyer national juif, est un symbole d’amitié et de mémoire de notre histoire commune, dont je tiens à féliciter les initiateurs, Messieurs Jacky BOBOTH et Laurent DOMINATI. Tous mes remerciements vont également à Monsieur le Maire Pierre ADENBAUM et évidemment, à Monsieur Bertrand DELANOE, Maire de Paris

Voici un article de Séguillon sur LCI publié mardi 4 juillet, je vous demande d’intervenir en demandant à tous les internautes de réagir en écrivant un mail à LCI (sur leur site) et dénoncer cette propagande journalisitique. Si personne ne fait rien, il n’y a aucune raison pour que ca bouge et nous serons encore là à nous lamenter. Agissons !

Le nouveau Conseil des droits de l’homme, créé en mars dernier par l’Assemblée générale des Nations Unies, pour remplacer l’ancienne Commission des droits de l’homme, se réunissait mercredi 5 juillet 2006, en session extraordinaire d’urgence pour étudier la situation en territoire palestinien.

Après un nouveau tir de Kassem sur Ashkélon, début de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza
Tous les quotidiens : Un nouveau missile kassem s’est abattu hier soir, sur Ashkélon au cœur d’un quartier résidentiel. Il s’agit comme la veille d’une version améliorée (et bi-moteur) du missile kassem traditionnel. Cinq habitants du quartier(trois adultes et deux enfants) ont été placés en observation après avoir été choqué par le tir.
Maariv : Le maire d’Ashelon s’oppose à une politique défensive et prône une activité offensive dans la bande de Gaza contre les lanceurs palestiniens.
Maariv : La famille Kalfa évacuée du Goush Katif l’an dernier réagit : « Nous vous avions prévenu que c’est ce qui se produirait si nous quittions Gaza. Mais vous avez préféré faire la sourde oreille » affirme Lior Kalfa qui réside avec sa famille dans le village de « caravillas » de Nitzan, au nord d’Ashkélon .

Peut-être avez-vous vu la chose d’un œil distrait, en regardant à la télévision un match de la Coupe du monde de football. Un but est marqué, qui assure au Ghana sa présence dans la suite de la compétition. Les joueurs exultent. Soudain, on voit un morceau d’étoffe bleu et blanc voler au-dessus de la pelouse verte. C’est le défenseur ghanéen John Paintsil qui a déployé le drapeau d’Israël.

Cette place se situe place des Arts et Métiers, à l’angle des rues de Turbigo et Réaumur (75003). La plaque indique : ’’Place Theodor Herzl, 1860-1904, journaliste et écrivain, inspirateur du Foyer national juif’’. Un dispositif policier était déployé à proximité de cette place. Le 9 mai 2004, le Conseil d’arrondissement du 3e arrondissement de Paris a décidé à l’unanimité de rendre hommage au père du sionisme en dénommant ’’Place Theodor Herzl (1860-1904)’’ un lieu parisien. Il approuvait le vœu émanant initialement de deux élus UMP, Jack-Yves Bohbot et Laurent Dominati. Le 7 juin 2006, le Conseil de Paris agréait ce choix, à l’unanimité, en désignant l’espace de la capitale du nom du fondateur du sionisme moderne.

Israël ne permettra pas que le terrorisme devienne un instrument de réalisation d’objectifs politiques au Proche-Orient, a déclaré lundi à Moscou la ministre israélienne des Affaires étrangères, Mme Tzipi Livni.

Le cabinet israélien de sécurité a donné mercredi son feu vert à des opérations militaires prolongées et en profondeur dans la bande de Gaza pour libérer un soldat enlevé le 25 juin et stopper les tirs de roquettes notamment contre la ville d’Ashkelon.

Israël commémore cette année le trentième anniversaire de l’opération d’Entebbe, au cours de laquelle une unité d’élite israélienne est allée délivrer des otages détenus en Ouganda par un commando terroriste qui venait de détourner un avion d’Air France.

« Si tendre l’autre joue signifie renoncer à être soi-même, il y a un danger ! L’autodéfense est un devoir. » Ces paroles sont celles de Mgr Velasio De Paolis, secrétaire du Tribunal suprême de la signature apostolique, au Vatican, et font référence aux Musulmans. Pour expliquer ce rejet apparent de l’exhortation de Jésus à ses fidèles de « tendre l’autre joue », De Paolis souligna que « cela fait plus d’un demi-siècle que l’Occident a des relations avec les pays arabes, (...) et il n’a jamais été capable d’obtenir la moindre concession sur les droits humains ».