Dans un camp de réfugiés palestiniens, on fourbit ses armes pour l’après-Abbas

La Croix | AFP

dimanche 20 décembre 2020, par Desinfos

Dans le camp de Balata, les murs des venelles grisâtres sont tatoués d’affiches àl’effigie de Hatem Abou Rizk, tombé dans le cadre des tensions grandissantes entre factions palestiniennes qui se préparent àun monde sans le président Mahmoud Abbas.
Le 31 octobre, un entrefilet s’invite dans les médias palestiniens : un mort et des blessés dans ce camp de réfugiés, où s’entassent 30.000 personnes sur moins d’un km2 àla sortie de Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie
Cette fois-ci, les heurts n’opposent pas Palestiniens et forces israéliennes, mais des Palestiniens entre eux.


Voir en ligne : https://www.la-croix.com/camp-refug...


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