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Le Parlement libanais a voté une loi autorisant les réfugiés palestiniens qui vivent au Liban à exercer quasiment tous les métiers. Pas question toutefois de leur accorder le droit d’accéder à la propriété... Ouvrier dans l’agriculture ou dans le bâtiment : ce sont les professions majoritairement exercées aujourd’hui par les réfugiés palestiniens qui vivent au Liban. Cette situation, dénoncée par les associations des droits de l’Homme depuis des années, va changer : la loi votée ce 17 août autorise ces réfugiés à exercer quasiment tous les métiers. Quatre professions leur restent toutefois fermées. « Il s’agit des professions d’avocat, médecin, pharmacien et ingénieur, pour lesquelles il existe des ordres professionnels. Ce sera à ces derniers de trancher », précise Isabelle Dellerba
LireL’attaque de l’armée libanaise le 3 août contre des soldats de Tsahal en territoire israélien pourrait avoir été la décision d’un commandant local, mais a été influencée par l’attitude belliqueuse de l´armée libanaise envers Israël. Le Hezbollah n’est pas intervenu dans l’incident, mais a envoyé à Israël un message préventif et un avertissement implicite
LireDepuis la mi-2007, il y a eu une augmentation constante de l’activité du Jihad Global dans la région du Sud-Liban. Récemment, des incidents violents ont été perpétrés par le ’Hezbollah et ses soutiens à l’encontre de la force de maintien de la FINUL. Les Brigades de l Armée libanaise par le passé étaient souvent des soldats à majorité chrétienne. Cela a changé. Les brigades de l’Armée sont composées aujourd’hui de soldats de différentes tendances religieuses
LireSelon la version officielle, un officier libanais aurait de son propre chef pris l’initiative de tendre une embuscade de tireurs de précision aux militaires de Tsahal. L’Armée israélienne voulait élaguer la végétation sur la ligne bleue et avait prévenu la FINUL afin de coordonner cela avec l’Armée libanaise.
LireAu déclenchement d’un conflit armé, l’effet de surprise est l’élément essentiel qui peut permettre au belligérant qui ne dispose pas de supériorité par sa puissance de feu, de marquer des points et d’enfoncer un coin dans le mental de la partie adverse. Pour que cet élément de surprise soit total, on choisira de préparer l’évènement dans le cours des activités les plus routinières que peut mener l’adversaire. Les déclenchements, à la frontière libanaise, se déroulent toujours dans des moments ordinaires d’une absolue banalité.
LireLe dernier incident à la frontière libanaise est grave et dévoile que la région est fragile et explosive. Depuis la Seconde guerre du Liban, déclenchée en juillet 2006, nous assistons à un théâtre de l’absurdité. L’armée libanaise forte de 4 divisions est déployée au sud mais son commandement et ses rangs sont en majorité chiite, voire proche du Hezbollah. Le Liban est le seul Etat de la planète où sont présentes une armée ordinaire, et une milice équipée de matériel militaire et de missiles à longue portée et qui siège au sien du gouvernement avec un droit de veto.
LireLe fait que ce soient des soldats libanais, et non des hommes du Hezbollah, qui aient tué hier après-midi un commandant de bataillon de Tsahal à la frontière nord, est la principale raison pour laquelle Israël a réagi avec mesure à la provocation. On peut supposer que si l’organisation chiite avait revendiqué le meurtre du lieutenant-colonel Dov Harari, Tsahal aurait riposté en attaquant le long de tout le front sud-libanais.
LireQue font les photographes et les journalistes sur les lieux de l’incident à un moment qui précède un échange de tirs mortels entre forces libanaises et israéliennes ? Un échange fatal de tirs entre soldats libanais et les forces de Tsahal sur la frontière Nord, a causé la mort d’un soldat israélien et la perte de quatre autres côté libanais. L’incident a également soulevé des questions concernant l’intégrité du media qui a couvert l’information.
LireAprès les affrontements de ce mardi à la frontière entre Israël et le Liban, tous les efforts se concentrent pour éviter l’escalade. Le Liban a condamné une « agression » de Tsahal, tandis que pour le moment le Hezbollah ne serait pas impliqué. Mais il pourrait se trouver en embuscade. Le président libanais Michel Sleimane et le Premier ministre Saad Hariri ont dénoncé mardi une « agression » israélienne alors que quatre Libanais ont été tués, selon des sources de sécurité, dans des affrontements avec les troupes israéliennes à la frontière entre les deux pays.
LireDes membres de la force internationale de la FINUL se sont rendus mardi soir sur la zone depuis laquelle l’armée libanaise a fait feu en direction de Tsahal, tuant le commandant Dov Harari z.l. et blessant gravement le capitaine Ezra Lakia. Les officiers de l’ONU ont affirmé « que les activités des soldats israéliens sur les lieux ne justifiaient d’aucune manière la réaction libanaise ».
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