![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Personnalisé
|
Inscription gratuite à la Newsletter - cliquer ici - |
Emmanuel MACRON comme Jacques CHIRAC, en 1996, a commis une grossière erreur en considérant, lors de sa visite à Jerusalem, que la basilique Ste-Anne de Jerusalem était un « territoire français ». Hors du territoire français (métropolitain et oute-mer) il n’y a pas de « territoire français ». Mais il est vrai qu’il ne faut pas confondre « territoire national » et « droit applicable ».
Car, le droit international reconnaît à des territoires relevant de la souveraineté d’un Etat étranger des exceptions à la généralité de sa compétence.
Contrairement à l’opinion véhiculée par la majeure partie de la presse française depuis quelques décennies, le conflit entre Israël et ses voisins arabes ne date pas de la Guerre des Six Jours et de l’émergence de la conscience palestinienne consécutive à l’extension territoriale d’Israël, Le spécialiste de droit international David Ruzlé nous livre ici une analyse historique précise et nuancée, de ce qu’il convient de nommer le « conflit arabo-israélien ».
LireJe dois à une de mes correspondantes d’avoir eu l’attention attirée sur l’éditorial du journal « Le Monde » de ce soir. J’avoue que je parcours en quelques minutes ce qui fut, il y a fort longtemps, un journal bien fait, mais qui depuis très longtemps est devenu « trop fait ». Et, du coup, je n’avais pas, notamment, remarqué que les journalistes de ce quotidien (comme beaucoup d’autres journalistes) - hélas - ne connaissent pas le droit international, sinon ils n’auraient pas écrit : "La reconnaissance d’un Etat ne peut être qu’internationale, sanctionnée par le Conseil de sécurité de l’ONU ». Ce qui est une ânerie sans nom ! La reconnaissance est, normalement, un acte unilatéral émanant d’un seul Etat. Mais, passons...
LireD’aucuns s’étonneront de cette Lapalissade et pourtant, à la lecture de nombreux sites du Web, voire des medias et – pire encore – des déclarations de certains responsables ( ?) politiques, à propos du conflit israélo-palestinien, on en viendrait à douter.
LireUne fois encore, des voix discordantes se font entendre au sein du gouvernement israélien, à peine issu des dernières élections.
Alors qu’un léger « frémissement » se dessine dans le camp arabe, qui dispose, certainement, de moyens efficaces pour faire plier les jusqu’auboutistes palestiniens, dans le camp israélien en en est déjà à imaginer l’aboutissement des négociations.
C’est peut-être prématuré, mais il n’est pas inutile d’y penser
Le journal Le Monde, a publié, dans son numéro daté du 25 avril un appel, signé par un « collectif », composé d’une vingtaine d’anciens responsables politiques européens, qui se présente, lui-même, modestement, comme un « Groupe européen d’éminentes personnalités sur le processus de paix au Prochain-Orient - » (souligné par nous).
LireDans le supplément de ce week-end Géo&politique du journal Le Monde , Gilles Paris, spécialiste du Proche-Orient, qui fut, il y a quelques années, correspondant du journal à Jérusalem, intitule son E-Billet « Israël-Palestine : l’option des deux Etats a vécu ».
Ce n’est, certes, pas la première fois, que le quotidien parisien du soir fait preuve d’un tel pessimisme.
Si l’on voulait la preuve, qu’en France, les gouvernements changent, mais que le Quai d’Orsay reste inflexible, il suffit d’évoquer le dialogue, qui a eu lieu ces dernières vingt-quatre heures, à l’occasion du point de presse du porte-parole du Ministère.
S’agissant de l’enquête des autorités bulgares concernant l’attentat terroriste de Burgas, à l’été dernier, ayant provoqué la mort de six personnes, dont cinq israéliens, un intervenant avait demandé, hier, si la position de la France, à propos du Hezbollah, suspecté d’être impliqué dans cet attentat pourrait changer « si les bulgares disent qu’ils étaient impliqués dans l’attentat ».
Lire aussi : Confirmation de la déliquescence de la diplomatie française et de son « chef » ; Extrait du point de presse du porte-parole du Quai d’Orsay du 9 janvier
La France, qui n’est jamais en retard pour donner de « bons conseils » n’a pas failli à ses habitudes. Ainsi, dès hier, le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius a souhaité que le prochain gouvernement israélien engage « très vite » des négociations avec les Palestiniens, estimant que 2013 ne devait pas être « une année blanche pour la paix. Pour nous, l’une des questions majeures, c’est le conflit israélo-palestinien, or dans la campagne (électorale israélienne), ce thème n’a recueilli qu’un intérêt assez mineur », a ainsi déclaré M. Fabius sur France Info.
LireDans son édition de mercredi 16 janvier, le journal Le Monde écrit, à propos de l’opération Serval actuellement menée, par la France, au Mali et que vient d’approuver, unanimement, le Conseil de sécurité de l’ONU : « Sur le plan juridique, le fait que Paris s’abrite derrière l’article 51 de la charte des Nations unies. – qui prévoit « le droit de légitime défense, individuelle ou collective » en cas d’agression armée contre un Etat membre de l’ONU – ne fait pas l’objet de la moindre contestation au sein du Conseil ».
Lire0 | 10 | 20 | 30 | 40 | 50 | 60 | 70 | 80 | ... | 380
Ynetnews
Breaking News
Jerusalem
Post Breaking News
DEBKA News Updates
Israël
Actualités
Breaking News du
Monde Juif.info
Le
fil info de Tmes of Israël.fr
Les
dernières infos de Times of Israël.fr
Le
fil de l'info de Koide9enisrael
Les
dernières infos de
de Telavivre
Les dernières infos de de jForum.fr
Le blog de danilette
Les brèves : Le Petit Hebdo
Les News de Israël Flash
Les articles de JSS News
à la Une | Europe Israel
Les actualités de Alliance.fr
Fil info i24news
MEMRI Observatoire
du Moyen-Orient
Actualité Juive