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Par Jacques BENILLOUCHE | Temps et Contretemps
lundi 5 septembre 2022
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Quand on veut tuer son chien on dit qu’il a la rage. Ce proverbe s’applique parfaitement au Hamas qui cherche un prétexte pour se débarrasser de quelques opposants, souvent d’ailleurs membres du Fatah. Au lieu de restructurer ses services de sécurité et de changer ses chefs inefficaces, il transfère la responsabilité de ses échecs sur de simples citoyens. Devant l’incurie des dirigeants face aux commandos israéliens, la panique s’empare des leaders du Hamas qui ne trouvent rien de mieux que de s’en prendre aux lampistes. La méfiance règne parmi les miliciens et cela n’est pas bon pour la cohésion des groupes armés.