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Par Jacques BENILLOUCHE - Temps et Contretemps
lundi 6 juin 2022
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Chaque année, à l’occasion du pèlerinage annuel à la synagogue de la Ghriba de Djerba, les Juifs espèrent voir des relations diplomatiques se nouer entre la Tunisie et Israël. Cette année, l’espoir s’était ravivé après l’acceptation discrète d’Israéliens d’origine tunisienne munis d’un passeport bleu. Et chaque année, le débat sur la promulgation d’une loi criminalisant la normalisation avec Israël revient sur le tapis. Nul ne comprend l’acharnement des Tunisiens à soutenir sans exclusive la cause palestinienne, contrairement aux Marocains, aux Égyptiens et au Émiratis. Ce soutien est cependant superficiel et non traduit par des actes. Il date du temps où Yasser Arafat et son dernier carré s’étaient réfugiés à Tunis.