Dans un premier temps, chez les Palestiniens, on aurait volontiers applaudi Poutine.
Nombre de dirigeants, dont le président Abbas, ont fait des études à Moscou. Du temps de la guerre froide, l’Union soviétique avait apporté une aide précieuse à l’Organisation de Libération de la Palestine. À cours des dix dernières années, la Russie s’est rapprochée du Hamas à Gaza, en partie parce que l’Iran, son allié, en est le principal soutien. Si bien que monsieur Fayez Abu Shamala, écrivant dans « Falastin » a souhaité une victoire décisive au maître du Kremlin avant de tweeter « J’espère que la ville de Londres connaîtra le même sort ».
Les Palestiniens ne sont pas contents, par Michèle Mazel
Article mis en ligne le 30 avril 2022