Quels mots pour re-dire l’horreur de la semaine qui ouvrit les yeux de la France, la confrontant à ce que tant refusaient encore de voir et donc de nommer : le terrorisme islamiste.
Cette poignée de jours où, après que furent exécutés 3 militaires et qu’1 d’entre eux fut laissé pour mort, condamné à vivre invalide, le terrorisme atteint son acmé par l’assassinat, donné à bout portant, le 19 mars 2012, à un enseignant, Jonathan Sandler, 30 ans, ses fils Arié et Gabriel, 5 et 3 ans, devant l’école juive Ozar Hatorah de Toulouse, et celui , au sein-même de la cour, perpétré contre une petite fille, Myriam Monsonego, 8 ans.
L’horreur du 19 mars 2012. Restent les visages de 3 enfants juifs
Tribune Juive
Article mis en ligne le 19 mars 2022