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Par Jacques BENILLOUCHE | Temps et Contretemps
mercredi 17 novembre 2021
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La décision d’Assad de renvoyer en Iran le commandant du Corps des Gardiens de la révolution islamique, Jawad Ghaffari, est très symbolique et lourde de conséquences car cet Iranien était l’homme le plus fort de Syrie. L’entourage présidentiel avait émis de nombreuses critiques sur cette présence iranienne en Syrie. Il s’agit d’une figure importante mise à l’écart. Feu Kassem Soleimani était le commandant de la force Al-Quds et son adjoint était Jawad Ghaffari, « commandant des forces iraniennes en Syrie ». Au-dessous d’eux se trouvaient deux membres du Hezbollah, Yassir Ahmed Daher et Hasan Yusuf, chargés d’attaquer Israël avec des drones, mais qui ont été éliminés à temps lors des attaques israéliennes près de Damas dans la nuit du 25 août 2020.