Les directeurs d’hôpitaux israéliens, dont les locaux sont calmes malgré le pic de diagnostics COVID, sont divisés sur la question de savoir s’il est temps de respirer ou de se préparer au pire.
Au Galilee Medical Center de Nahariya, le professeur Masad Barhoum pense que l’augmentation très lente du nombre de patients hospitalisés est temporaire et qu’il pourrait bientôt y en avoir beaucoup plus. Selon lui, le gouvernement « ne réagit pas assez » face à l’augmentation du nombre de cas de coronavirus, d’autant que l’Aïd al-Adha, une fête musulmane marquée par de grands rassemblements, commence dans deux semaines.
COVID : Israël a-t-il raison d’être optimiste ? Les chefs d’hôpitaux divergent
Times of Israel en français | NATHAN JEFFAY
Article mis en ligne le 6 juillet 2021