Téhéran continue à accumuler de l’uranium faiblement enrichi, dont la quantité dépasse désormais de 14 fois la limite autorisée par l’accord de 2015.
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) s’est déclarée « vivement préoccupée » par la possible présence de matière nucléaire sur un site iranien non déclaré, selon un rapport consulté mardi 23 février par l’Agence France-Presse à Vienne.
Ces propos interviennent dans un contexte tendu, alors que l’Iran a commencé à limiter les inspections de l’agence onusienne, après l’expiration d’une échéance fixée par Téhéran pour la levée des sanctions américaines.
Nucléaire iranien : un site caché préoccupe « vivement » l’AIEA
Le Point.fr | AFP
Article mis en ligne le 25 février 2021