Shoah : quand les survivants partent, que reste-t-il pour sauver la mémoire ?
RTBF
Article mis en ligne le 2 décembre 2020
Après le décès de Paul Sobol, il ne reste plus beaucoup de témoins directs en Belgique pour raconter ce qu’il s’est passé dans les camps de concentration. Or, ces témoignages sont forts émotionnellement, ce qui permet de fixer la mémoire. Alors comment continuer à transmettre de manière aussi intense ? Via, notamment, le cinéma, nous répond l’historienne Laurence Van Ypersele (UCLouvain).