La marche contre l’islamophobie (comprendre l’interdiction de critiquer les adeptes de la Charia) dégénère en propos radicaux. La présence de clémentine Autin ou de Yassine Benattar confirme les craintes des observateurs : une manifestation sous la bannière des faschismes Rouge et Vert.
Le mythe de l’islamophobie comme vecteur de violence :
Si l’antisémitisme tue en France, si la christianophobie tue en France, c’est l’islam politique qui pleure le plus fort. Un bruit intempestif, appelé « islamophobie » qui a pour but de couvrir les larmes des véritables victimes de l’islam politique en France.
Le chiffrage des actes commis contre les religions en 2018 est encore plus éloquent : Actes antichrétiens : 1063. Actes antisémites : 541. Sans plus de commentaires
Les manifestants contre « l’islamophobie » défilent sous les cris d’ « Allah Wakbar », de drapeaux palestiniens et maghrébins
Axel Rehouv pour europe-israel.org
Article mis en ligne le 11 novembre 2019