Le très mauvais procès fait au journaliste Clément Weill-Raynal.
Sarah Cattan | Tribune Juive
Article mis en ligne le 12 octobre 2019
Voilà le journaliste de France télévisions convoqué par sa hiérarchie et menacé de sanctions pour avoir, concernant le carnage à la Préfecture de Police de Paris, évoqué, au conditionnel, l’hypothèse d’un attentat islamiste.
Le voilà, Clément Weill-Raynal, qualifié de militant, voire d’être en mission, et en somme inquiété pour avoir bien fait son travail et avoir, in fine, commis aux yeux de son employeur, un attentat à la vérité.