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Personnalisé
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Par André Senik - L’Express
dimanche 3 mars 2019
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L’idée de pénaliser l’expression publique de l’antisionisme a germé après l’agression d’Alain Finkielkraut. Elle se heurte néanmoins à de nombreuses difficultés.
Certes, il n’est pas besoin d’entrer dans des analyses sémantiques compliquées pour constater que l’antisionisme est le faux nez de l’antisémitisme. Qu’il est l’antisémitisme d’après la Shoah, le mot de substitution qui permet de contourner le mot tabou.
Il est d’ailleurs plus que cela. Il est la diabolisation de l’État d’Israël qui permet d’accuser les Juifs d’infliger aux Arabes tous les crimes dont ils ont eux-mêmes souffert.