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Daniel Sibony
vendredi 8 décembre 2006
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Certaines analyses de stratèges sur le Moyen-Orient (incluant, outre Israël et les Palestiniens, l’Irak, l’Iran, le Liban, l’Afghanistan) produisent un curieux discours défaitiste, où l’on répète[1] que depuis trois ans « tout à changé », qu’on a « la guerre après la guerre », l’enlisement, les pertes humaines infligées par un ennemi qui a des « armes [russes] de la dernière génération... » ; que la puissance américaine est « contre-productive », « inefficace », que les armées occidentales ne peuvent que se protéger... On en rajoute sur la « cuisante désillusion » d’Israël au Liban, puis sur le nucléaire iranien, pour conclure que les Occidentaux sont dans « une posture presque pire que la défaite, la non-victoire ». (Au fait, en quoi la non-victoire est-elle pire que la défaite