![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Personnalisé
|
Inscription gratuite à la Newsletter - cliquer ici - |
Un Watch
mercredi 31 juillet 2019
- Lire la version pour téléphone mobile (iPhone, smartphone, etc.) -
Genève, le 25 mai 2016 – Le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et les autres États membres de l’UE ont voté, ce jour, à l’occasion de l’Assemblée annuelle de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS/WHO), une résolution de l’ONU, co-parrainée par le Groupe des États arabes et la délégation palestinienne, faisant d’Israël le seul violateur du « bien-être mental, physique et environnemental » et ont chargé une délégation de l’OMS d’enquêter et d’effectuer un rapport sur « la situation sanitaire dans les territoires palestiniens occupés » et dans « le Golan syrien occupé » ainsi que de remettre ce sujet à l’ordre du jour de la réunion l’an prochain.
En revanche, l’Assemblée de l’ONU n’a pas abordé le problème des hôpitaux syriens bombardés par des Syriens et par des avions de guerre russes ou encore celui des millions de Yéménites auxquels a été refusé l’accès à la nourriture et à l’eau par les bombardements et les blocus menés par l’Arabie Saoudite. Elle n’a pas non plus adopté de résolution sur quelque autre pays dans le monde. La réunion n’a tenu compte que du point 19 des 24 à l’ordre du jour, lequel est contre Israël et axé sur un pays spécifique. Le texte de la résolution a été pire que celui de l’année précédente ajoutant de nouvelles accusations dont de nombreuses sont au-delà de la portée de la mission de l’OMS.