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Par Piotr Romanov, RIA Novosti
vendredi 18 août 2006
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Même l’optimiste le plus incorrigible ne prétendra pas aujourd’hui que cette nouvelle guerre au Proche-Orient se soit enfin achevée. Pire, il serait de toute évidence plus juste de reconnaître que la guerre au Proche-Orient ne fait que changer de masques, tout en se poursuivant depuis très longtemps et pour encore longtemps. Ni l’Etat hébreu ni les Arabes ne sont prêts à la paix. En témoignent les dernières déclarations du leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah, et du premier ministre israélien, Ehud Olmert. Le premier a notamment déclaré qu’il n’était pas question de désarmer son organisation, alors que le second a assuré que la chasse aux leaders du Hezbollah allait se poursuivre jusqu’au bout. Il ne s’agit par conséquent aujourd’hui que d’une accalmie relative sur le front proche-oriental.