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L’analyse de Georges Malbrunot. Grand reporter au service étranger du Figaro.
samedi 15 juillet 2006
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En privé, le chef druze Walid Joumblatt ne décolère pas. Voici deux semaines, son rival chiite, le dirigeant du Hezbollah Hassan Nasrallah, lui fait parvenir un message de conciliation. « La stabilité du Liban nous est chère, assure ce dernier via un émissaire, il faut préserver la saison touristique et continuer le dialogue entre nos différentes formations politiques. » Depuis longtemps, Joumblatt et Saad Hariri, le fils de l’ancien premier ministre assassiné l’an dernier, cherchent à « libaniser » le Parti de Dieu pour réduire l’influence déstabilisatrice de ses parrains iraniens ou syriens au pays du Cèdre.