![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Personnalisé
|
Inscription gratuite à la Newsletter - cliquer ici - |
Par Pascale Zonszain - actuJ
mercredi 27 janvier 2016
- Lire la version pour téléphone mobile (iPhone, smartphone, etc.) -
L’accord entre les grandes puissances et l’Iran sur son programme nucléaire est entré en vigueur le 17 janvier, avec pour effet la levée des premières sanctions économiques. Ce qui n’empêchera pas Téhéran d’accueillir en juin un nouveau concours de caricatures sur la Shoah.
Le monde se congratule d’avoir ramené l’Iran dans le concert des nations et tente de se persuader que l’accord sur son programme d’armement nucléaire en a fait un partenaire fréquentable. Depuis que l’AIEA a établi que l’Iran avait rempli sa première part du contrat en désactivant une partie de ses centrifugeuses et en expédiant en Russie son uranium enrichi, la communauté internationale, à l’exception notable d’Israël et des monarchies du Golfe, nage dans la félicité et lorgne vers l’eldorado du marché iranien.