Dieudonne, suite, mais non pas… fin
Raphaël Draï
Article mis en ligne le 23 janvier 2014
Dans « l’affaire Dieudonné », l’on pouvait penser que le recours à la justice était le plus sûr moyen de régler définitivement le grave conflit en cause et de respecter l’Etat de droit. C’est en ce sens que la décision initiale du Tribunal administratif de Nantes, saisi en urgence par les conseils du « comique », selon la procédure dite du référé-liberté, et autorisant la tenue de son spectacle, pouvait susciter de légitimes préoccupations.