Le livre « Deception » - Tromperie- de Palestinian Media Watch donne des centaines d’exemples précis de l’incitation à la haine d’Israël et des Juifs par l’Autorité palestinienne. Autorité financée par nombre de pays occidentaux. Qui financent donc cette incitation. Ce sujet traité récemment par la télévision norvégienne provoque un débat au plus haut niveau au Parlement norvégien dans un pays assez peu enclin à soutenir Israël. Mais des députés interpellent aujourd’hui des ministres, affirmant que financer la haine ne peut contribuer à instaurer la paix.

Distribué dans plusieurs Parlements européens l’ouvrage de Palestinian Media Watch «  Deception  » - Tromperie – a provoqué maint débat. Cette fois c’est en Norvège qu’est discuté le financement de l’Autorité palestinienne dont l’ouvrage, distribué en mai dernier dans son Parlement, montre sans le moindre doute possible qu’elle promeut haine d’Israël et des Juifs et incite à la violence à leur encontre, notamment par le biais de sa télévision officielle mais pas uniquement. Verser des fonds à l’Autorité palestinienne revenant donc à financer cette incitation à la haine.

C’est ce que montrait un reportage de la télévision norvégienne, se basant sur cet ouvrage et une enquête menée dans les Territoires gérés par l’Autorité palestinienne, diffusé fin février. Reportage qui suscite un débat au plus haut niveau au Parlement norvégien, des députes d’opposition interpellant les ministres sur ces financements. Ministres ayant tenté de se défendre pour certains en citant des démentis et assurances émanant de l’Autorité palestinienne. Démentis que Palestinian Media Watch dément à son tour, avec des exemples précis et indubitables. Le Secrétaire d’État norvégien reconnaissait pour sa part que « l’ouvrage contient des exemples patents de haine et que l’antisémitisme est répandu dans la société palestinienne ».

Le débat portant sur le financement de l’Autorité palestinienne est donc lancé.... En Norvège tout au moins pour l’Europe. On sait également que l’administration américaine, tout comme le Congrès américain sont tout à fait conscients du problème et ont demandé à plusieurs reprises, Barack Obama en tête, que cesse cette incitation à la haine.