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Jean-Pierre Bensimon | Un autre regard sur le Proche-Orient Avril 2012 n°6
jeudi 3 mai 2012
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Peu nombreux et dispersé, l’électorat juif français conserve cependant un certain attrait pour les candidats en lice à la présidentielle. Il donne un certificat de « moralement correct » à ceux qui recueillent ses suffrages. Mitterrand s’en était bien servi. En mal de dynamique politique une fois dissipé le« rêve » qu’il avait su distiller en 1981, il put neutraliser ses adversaires de droite en leur lançant dans les jambes le Front National de Jean-Marie Le Pen, présenté comme la réincarnation du péril nazi. L’électorat juif se réjouit beaucoup, croyant identifier grâce à la martingale du président un vrai ami et un vrai ennemi.