![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Personnalisé
|
Inscription gratuite à la Newsletter - cliquer ici - |
par Daniel Pipes | Adaptation française : Anne-Marie Delcambre de Champvert
mardi 28 février 2012
- Lire la version pour téléphone mobile (iPhone, smartphone, etc.) -
Quelques réflexions sur la politique que l’Amérique [devrait avoir] envers la Syrie, ceci à l’occasion du colloque qui vient juste de se terminer en Tunisie, sur « Les amis de la Syrie » Le ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis, Cheikh Abdullah bin Zayed al-Nahya, le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, et la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton au colloque des « Amis de la Syrie ». Depuis la fin de la guerre froide, de nombreux Américains ont le sentiment d’être si forts, qu’ils [estiment qu’ils] n’ont pas besoin de penser à leur propre sécurité, mais peuvent se permettre de se concentrer sur les préoccupations humanitaires immédiates des autres.