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Giora Eiland, chef du Conseil de sécurité nationale israélien. a déclaré sur les ondes de Kol Israël : « Je dirais en langage clair que nous réagirions au calme. Nous ne mènerons pas d’opération si cela n’est pas nécessaire ».
Article mis en ligne le 23 janvier 2005

Eiland a toutefois souligné qu’Israël attendait non seulement une trêve, mais également un désarmement des organisations terroristes palestiniennes.

« Le problème, c’est que même si un cessez-le-feu est conclu, par définition il ne sera que provisoire (...) non seulement cela n’apporterait pas de solution, mais cela comporte également le risque » que les violences reprennent à tout moment, a-t-il insisté.

« Israël ne cherche pas une guerre civile palestinienne mais veut constater un vrai changement (...), une réelle action pour annihiler les capacités terroristes », a poursuivi Eiland.

Il a qualifié de « signe positif » le déploiement palestinien dans le nord de la bande de Gaza.

Pour certains terroristes, qui insistent pour qu’Israël fasse un geste de réciprocité à tout cessez-le-feu unilatéral, la suggestion avancée par Eiland demeure néanmoins insuffisante.

« Ce n’est assurément pas assez », a commenté Nafez Azzam, un haut dirigeant du Djihad islamique, un groupe terroriste qui, comme le Hamas, a juré de détruire Israël. « Ce dernier doit payer un prix pour obtenir une trêve. Nous sommes en train de mettre au point avec Mahmoud Abbas les détails », a-t-il confié à Reuters.

Samedi, une faction des Brigades d’Al-Aksa, l’aile armée du Fatah du président palestinien, avait fait savoir qu’elle se rallierait au principe d’un arêt des violences « à condition que le gouvernement israélien annonce préalablement une suspension générale de toutes ses opérations militaires dans les territoires ».

Le Hamas a posé des conditions similaires pour un cessez-le-feu.
Giora Eiland, chef du Conseil de sécurité nationale israélien. a déclaré sur les ondes de Kol Israël : « Je dirais en langage clair que nous réagirions au calme. Nous ne mènerons pas d’opération si cela n’est pas nécessaire »,

Eiland a toutefois souligné qu’Israël attendait non seulement une trêve, mais également un désarmement des organisations radicales palestiniennes.

« Le problème, c’est que même si un cessez-le-feu est conclu, par définition il ne sera que provisoire (...) non seulement cela n’apporterait pas de solution, mais cela comporte également le risque » que les violences reprennent à tout moment, a-t-il insisté.

« Israël ne cherche pas une guerre civile palestinienne mais veut constater un vrai changement (...), une réelle action pour annihiler les capacités terroristes », a poursuivi Eiland.

Il a qualifié de « signe positif » le déploiement palestinien dans le nord de la bande de Gaza.

Pour certains terroristes, qui insistent pour qu’Israël fasse un geste de réciprocité à tout cessez-le-feu unilatéral, la suggestion avancée par Eiland demeure néanmoins insuffisante.

« Ce n’est assurément pas assez », a commenté Nafez Azzam, un haut dirigeant du Djihad islamique, un groupe terroriste qui, comme le Hamas, a juré de détruire Israël. « Ce dernier doit payer un prix pour obtenir une trêve. Nous sommes en train de mettre au point avec Mahmoud Abbas les détails », a-t-il confié à Reuters.

Samedi, une faction des Brigades d’Al-Aksa, l’aile armée du Fatah du président palestinien, avait fait savoir qu’elle se rallierait au principe d’un arêt des violences « à condition que le gouvernement israélien annonce préalablement une suspension générale de toutes ses opérations militaires dans les territoires ».

Le Hamas a posé des conditions similaires pour un cessez-le-feu.



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