![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Personnalisé
|
Inscription gratuite à la Newsletter - cliquer ici - |
par Daniel Pipes - The Washington Times | Adaptation française : Anne-Marie Delcambre de Champvert
dimanche 20 février 2011
- Lire la version pour téléphone mobile (iPhone, smartphone, etc.) -
Si les évènements en Egypte ont tourné aussi bien que l’on pouvait espérer, les perspectives d’avenir restent incertaines. La phase intéressante est terminée, maintenant arrivent les soucis. Commençons par trois bonnes nouvelles : Hosni Moubarak, l’homme fort de l’Egypte qui paraissait être sur le point de provoquer une catastrophe a, heureusement, démissionné. Les islamistes, qui pousseraient l’Egypte dans la direction de l’Iran, ont eu un petit rôle dans les événements récents et sont loin du pouvoir. Et l’armée, qui a gouverné l’Egypte dans les coulisses depuis 1952, est l’institution la mieux équipée pour adapter le gouvernement aux exigences des manifestants.