Le président iranien a convoqué son beau monde, c’est-à-dire Meshaal et Nasrallah, à un thé dansant qui aura lieu jeudi prochain. Même endroit, même heure sous les lambris de leur inséparable Assad sis en son palais damascène. Personne ne peut dire de quoi on va causer autour des loukoums. Une chose est sûre : chacun va accuser l’autre d’avoir rater la mayonnaise.