Avindov Béguin était encore un prénom inconnu pour le grand public israélien jusqu’à ce que le journal à grand tirage, le Yediot Aharonot, lui ouvre ses colonnes sur six pages dans un de ses magazines du week-end. Ce dernier ayant écrit un livre intitulé « Fin de la discorde », le quotidien a décidé de lui demander un entretien exclusif, son premier. Il vaut le détour au vu du patronyme célèbre qu’il porte.