Des dizaines de proches doivent s’élancer de Tel-Aviv pour une marche à pied de 63 km, sur cinq jours, jusqu’au bureau de Benjamin Netanyahu à Jérusalem
Manifestations, interviews, sablier géant, tournoi sportif sur la plage… les proches des otages israéliens se démènent pour garder l’attention des médias et de l’opinion publique, malgré la fatigue et l’usure qui s’installent.
Sa fille Sahar, 16 ans, son fils Erez, 12 ans, ainsi que son ex-mari Ofer, 53 ans, ont été enlevés et emmenés à Gaza le 7 octobre, il y a plus d’un mois. Son « cauchemar », Hadas Kalderon l’a déjà décrit « une centaine » de fois.
Elle le fait pourtant une nouvelle fois pour l’AFP, à Tel-Aviv en marge d’une manifestation, une de plus, pour la libération des quelque 240 otages retenus depuis l’attaque du groupe terroriste islamiste palestinien du Hamas, qui a aussi fait environ 1 200 morts selon Israël.
Pour les proches d’otages israéliens, maintenir l’attention malgré l’usure
Times of Israel en français - AFP
Article mis en ligne le 14 novembre 2023