Rachel Goldberg-Polin, qui depuis le 7 octobre, n’a pas fait de sport, ni écouté de musique ni mangé de sucre, compare la peine « indescriptible » des familles d’otages à un « camion » qui les a tous renversés
Au-dessus du cœur, Rachel Goldberg-Polin porte le numéro 236 épinglé sur son haut bleu quand cette Israélo-Américaine reçoit ce mercredi l’AFP dans son bureau à Jérusalem. Autant de jours passés par son fils à Gaza où il est retenu en otage après avoir été enlevé par le Hamas.
A l’entrée, un drapeau israélien côtoie une bannière « Ramenez Hersh à la maison  », en anglais et en hébreu avec un dessin du visage de son aîné de 23 ans.
Le combat d’une Israélo-Américaine, mère d’otage et célébrité malgré elle
Times of Israel en français - AFP
Article mis en ligne le 1er juin 2024