Avant qu’elle ne soit totalement achevée, il ressort clairement que la barrière de sécurité remplit ses objectifs, qui sont d’empêcher les terroristes de pénétrer en Israë l pour y commettre des attentats.
Ces dernières semaines, Israë l a procédé à l’arrestation de plusieurs terroristes palestiniens qui ont admis avoir échoué dans l’exécution de leur projet meurtrier à cause de la présence de la barrière de sécurité.Â
- Le 10 décembre, Munir Rabiah et Murad Zietun, membres des forces de sécurité de l’Autorité Palestinienne, ont tenté de se faire exploser aux milieu des élèves d’une école de Yoknéam, près de Haïfa. Leur opération a échoué grâce à la présence de la barrière de sécurité. Â
- Amjad Abidi, le cerveau de l’attentat contre le restaurant « Maxim » qui a fait 21 morts le 4 octobre dernier à Haïfa a admis après son arrestation que si une barrière existait, les Palestiniens devraient trouver de nouvelles routes pour perpétrer leurs attaques contre des civils israéliens.
- Bassat Hassam Makhlem, un terroriste palestinien, a reconnu qu’il était capable d’envoyer des terroristes-suicide de Jénine au village de Baka el-Jabilya, d’où ils pouvaient continuer leur route pour atteindre leur cible en Israë l. L’érection de la barrière de sécurité dans cette zone a rendu ce trajet impossible.
Il est important de souligner qu’en dépit de ce que certains peuvent considérer comme un calme relatif, les Palestiniens n’ont jamais cessé d’essayer de commettre des attentats contre Israë l. Entre le 4 octobre et le 4 décembre, Israë l a déjoué 27 tentatives de semer la mort et la destruction dans ses villes. Presque toutes ces attaques étaient menées à partir du sud de la Judée-Samarie, c’est-à -dire de la zone ou la barrière de sécurité n’est pas encore terminée.