Les puissances étatiques régionales, notamment Téhéran, n’ont pas intérêt à une extension du conflit. Elles n’en maintiennent pas moins une dynamique d’escalade, attisée par les acteurs non étatiques.
Dès le 8 octobre, au lendemain de l’attaque massive du Hamas contre Israël, les responsables iraniens, tout en réaffirmant leur soutien à la Palestine, ont nié l’implication de la République islamique dans cette attaque. Dans un discours prononcé le 10 octobre au sein d’une académie militaire, Ali Khamenei, le Guide suprême de la République islamique, a lui aussi rejeté les accusations d’une implication de l’Iran dans la préparation de l’attaque du Hamas.
L’Iran pourrait faire basculer la guerre Israël-Hamas dans une nouvelle dimension
Slate.fr
Article mis en ligne le 23 octobre 2023