Le tsunami d’hommages au défunt Stéphane Hessel dans la presse et les médias français est passablement écœurant. Autant il est convenable de saluer un défunt pour ce qu’il a accompli de son vivant, et d’oublier pour le temps du deuil, qu’il fut un homme, faillible comme les autres, autant il est indécent de canoniser ce personnage aussi prétentieux que cabotin que fut Stéphane Hessel dans les dernières années de sa vie.