Gilad, Naftali et Eyal
Bernard-Henri Lévy
Article mis en ligne le 1er juillet 2014
Voici un texte que j’ai écrit pour le Haaretz, le 17 juin. J’ai le coeur brisé en relisant ces lignes. Elles n’ont plus le moindre sens sinon celui de dire mon chagrin, mon amertume et ma rage. (BHL)
Toutes mes pensées, ce matin, vont à Gilad Shaar, Naftali Frenkel et Eyal Yifrah. Je suis à Paris, à ma table d’écriture, mais j’ai devant moi leurs trois photos, sans doute anciennes, mais pas trop, ils ont l’air de tous les enfants du monde, ils semblent insouciants, heureux.