![]() |
![]() |
![]() |
![]()
Personnalisé
|
Inscription gratuite à la Newsletter - cliquer ici - |
Voici la troisième dépêche de MEMRI sur le rôle de l’Iran dans la récente escalade des violences au Liban et en Israël. (1) Les 12, 13 et 14 juillet 2006, les médias iraniens, libanais et syriens ont publié des articles et des déclarations sur l’explosion du conflit entre Israël et le Hezbollah. Extraits :
Célébrer les justes qui ont sauvé les valeurs de la France hier, c’est aussi soutenir Israël aujourd’hui. Depuis des décennies, le feu n’est jamais très loin mais il est bon de rappeler qu’il n’existe encore qu’une seule démocratie dans cette région du monde : Israël
Ci-après, les remarques du Premier ministre Ehud Olmert au début de la réunion hebdomadaire du Cabinet, ce jour (dimanche) 16 juillet 2006, suite à l’attaque de missiles contre Haïfa qui a fait 8 morts et 50 blessés, et aux attaques des derniers jours qui ont fait 16 morts et des centaines de blessés en Israël
Après le tir de missiles Fajr-3 [1] sur Haïfa qui ont fait 8 morts et près de 40 blessés ce matin, le niveau de l’alerte a été monté à Tel-Aviv. Les jardins d’enfants qui sont actifs en cette saison estivale ont ouvert leurs abris. Il y a moins d’une heure le Commandement des Arrières a appelé la population du pays, au Nord de Tel-Aviv, d’être prêt à toute éventualité.
Ce matin sur les ondes de RTL, on a pu entendre le Président de la République française s’exprimer, depuis Saint-Pétersbourg, sur le conflit au Moyen-Orient et manifester sa sympathie pour les populations civiles....libanaises et palestiniennes, nommément citées.
Mais rien sur la population israélienne.
L’aviation israélienne a repris à l’aube le bombardement de la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, a indiqué al-Manar, la télévision du parti terroriste libanais. Selon la chaîne, il s’agit du plus violent raid depuis le début de l’offensive mercredi. Les avions israéliens ont bombardé un pont reliant l’entrée est de la capitale libanaise à l’aéroport de Beyrouth, situé au sud du bastion du Hezbollah. C’est la deuxième fois en 48 heures que ce pont est la cible des missiles israéliens.
Au cours de sa traditionnelle interview télévisée du 14 juillet, le Président Jacques Chirac, après avoir - après d’autres - qualifié de disproportionnée la réaction israélienne au Liban, a cru devoir, également, dénoncer « une volonté de détruire le Liban ».
Le 13 juillet 2006, Les médias syriens et libanais ont publié des articles et des déclarations sur l’explosion du conflit entre Israël et le Hezbollah.
Le 4 mai 2006, le cheikh Subhi Al-Tufeili, fondateur et ancien secrétaire général du Hezbollah, avait déclaré sur Al-Arabiya : « Le Hezbollah est engagé par la politique iranienne (...) J’ai déjà dit que les chiites au Liban servent de ’terrain de jeu’ à l’Iran (...) Le Hezbollah encourage les relations avec les Syriens, mais il est en vérité dirigé par la jurisprudence, c’est-à-dire par le Guide suprême iranien Ali Khamenei. » Voir le clip n° 1132 de MEMRI TV sur www.memritv.org (le 4 mai 2006).
L’effusion de sang au Proche-Orient doit être arrêtée le plus vite possible, a déclaré samedi le président russe Vladimir Poutine, au cours d’une conférence de presse commune avec George Bush à Saint-Pétersbourg. « Nous considérons que les préoccupations d’Israël sont justifiées mais nous posons en prémisse que l’emploi de la force doit être proportionnel. L’effusion de sang doit être arrêtée le plus vite possible », a-t-il déclaré.
Agence France Presse - L’Iran pourrait être responsable de l’escalade de la violence entre Israël et le Liban, car il cherche à détourner l’attention internationale de son programme nucléaire, a déclaré jeudi l’ambassadeur américaine en Irak.
De Con Coughlin, rédacteur en chef défense et sécurité - Perchées dans les montagnes qui délimitent la frontière nord d’Israël avec le Liban, les troupes israéliennes ont passé cette année à jouer un jeu mortel du chat et de la souris avec des combattants soutenus par l’Iran appartenant à la milice radicale islamique du Hezbollah. Lors d’une visite plus tôt cette année dans cette zone frontalière fortement contestée, il était évident que dans certains secteurs clés le long de la frontière de 100 kilomètres, les positions défensives d’Israël étaient à moins de 50 mètres de leurs adversaires du Hezbollah.
En privé, le chef druze Walid Joumblatt ne décolère pas. Voici deux semaines, son rival chiite, le dirigeant du Hezbollah Hassan Nasrallah, lui fait parvenir un message de conciliation. « La stabilité du Liban nous est chère, assure ce dernier via un émissaire, il faut préserver la saison touristique et continuer le dialogue entre nos différentes formations politiques. » Depuis longtemps, Joumblatt et Saad Hariri, le fils de l’ancien premier ministre assassiné l’an dernier, cherchent à « libaniser » le Parti de Dieu pour réduire l’influence déstabilisatrice de ses parrains iraniens ou syriens au pays du Cèdre.
Il s’est réuni d’urgence, vendredi matin, à la demande du gouvernement libanais. Beyrouth réclamait une intervention de l’ONU pour arrêter l’offensive entreprise mercredi par Israël à la suite de l’enlèvement de deux soldats israéliens par le Hezbollah libanais.
Vers 19h 40, le correspondant permanent de la Ména à Beyrouth, Michaël Béhé, nous informait que le PC de commandement du Hezbollah, situé dans la banlieue chiite de Beyrouth, avait été atteint de plein fouet et détruit lors d’une attaque de l’aviation israélienne. Béhé nous assurait que Hassan Nasrallah, le chef de l’organisation terroriste intégriste, se trouvait sur les lieux au moment de l’attaque
Les impératifs du bouclage des hebdomadaires ne permettent, certes pas, d’être toujours en mesure de coller à l’actualité. Mais, cela ne dispense pas d’une certaine retenue. Ainsi, en l’absence de Claude Imbert, l’éditorialiste habituel du newsmagazine Le Point, généralement mieux inspiré, Patrick Besson nous semble avoir quelque peu dérapé, dans le numéro du 13 juillet.
Le Hezbollah libanais, qu’Israël veut « briser », est un Etat dans l’Etat libanais et un allié sûr de l’Iran et de la Syrie au Proche-Orient. Il est à la tête d’une organisation paramilitaire solidement équipée. Ennemi farouche de l’Etat hébreu et des Etats-Unis, qui l’ont classé dans la liste des « organisations terroristes », le Hezbollah peut aligner plusieurs milliers de combattants aguerris par la lutte armée engagée contre Israël au Liban en 1985. Ce mouvement, qui se qualifie de « Parti de Dieu », dispose d’un immense réservoir de partisans au sein de la population chiite, communauté la plus nombreuse au Liban, dont il subvient aux besoins à travers une large panoplie de services sociaux.
Il s’est demandé s’il n’y avait « pas une volonté de détruire le Liban », dénonçant le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais, aux initiatives « totalement irresponsables », ainsi que les pays qui les soutiennent.
0 | ... | 77240 | 77260 | 77280 | 77300 | 77320 | 77340 | 77360 | 77380 | 77400 | ... | 80780
Ynetnews
Breaking News
Jerusalem
Post Breaking News
DEBKA News Updates
Israël
Actualités
Breaking News du
Monde Juif.info
Le
fil info de Tmes of Israël.fr
Les
dernières infos de Times of Israël.fr
Le
fil de l'info de Koide9enisrael
Les
dernières infos de
de Telavivre
Les dernières infos de de jForum.fr
Le blog de danilette
Les brèves : Le Petit Hebdo
Les News de Israël Flash
Les articles de JSS News
à la Une | Europe Israel
Les actualités de Alliance.fr
Fil info i24news
MEMRI Observatoire
du Moyen-Orient
Actualité Juive
Visiteurs connectés : 167