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Lors de sa conférence de presse du jeudi 29 avril 2004, le Président Chirac a affirmé : « Une solution pacifique du problème israélo-palestinien est un préalable au retour à un certain calme dans le monde ».

Metula, 23h 45 heure d’Israël, 22h 45 à Paris

Cela s’est passé dans l’obscurité
Les grands crimes semblent affectionner ces absences d’éclairage, propres à dissimuler ce qui ne peut décemment apparaître au grand jour .

Kofi Annan a exhorté Yasser Arafat à donner une chance au plan Sharon de retrait de la bande de Gaza, estimant que les Palestiniens devraient de leur côté mettre au pas les activistes radicaux pour aider à une relance du processus de paix.

Des inscriptions nazies et antisémites ont été découvertes ce matin sur 127 tombes du cimetière israélite de Herrlisheim-Hasttatt, dans le Haut-Rhin.
Ces profanations interviennent au lendemain de la clôture en Allemagne d’une conférence de l’OSCE sur l’antisémitisme.

Dans un article du quotidien londonien en langue arabe Al-Sharq Al-Awsat, le Docteur Abd El-Hamid Al-Ansari, ancien doyen de la faculté de droit islamique de l’université du Qatar, a déclaré que les fatwas islamiques modernes (opinions religieuses légales) déformaient le sens du terme djihad [guerre sainte] dans le but de justifier une idéologie agressive. Voici des extraits de son article : (1)

Le Président Jacques Chirac s’est une nouvelle fois distingué par sa position sur le plan de désengagement de Gaza.

Nicolas Sarkozy n’a pas dit que le gouvernement Jospin était antisémite. Il a simplement dit qu’il était arrivé à faire croire que la France devenait un pays antisémite. Au-delà d’une querelle politicienne sans grand intérêt, quelle réalité y-a-t il derrière les propos de Nicolas Sarkozy ?

Le 19 novembre 2003 a été annoncée l’annulation par le Département d’Etat américain du visa diplomatique du parlementaire Walid Jumblatt, dirigeant druze libanais, après que ce dernier eut déploré que le vice-secrétaire américain de la Défense Paul Wolfowitz n’ait pas péri suite à l’envoi d’un missile sur l’Hôtel Al-Rachid, lors de sa visite à Bagdad. (1) M. Jumblatt, connu pour être l’auteur de déclarations telles que « Nous sommes heureux quand un soldat américain meurt » (2) et « Quand un Juif, soldat ou civil, tombe, c’est un grand succès » (3) a dernièrement accordé un entretien à la télévision Al-Arabiyya. Extraits : (4)

Dans un article du quotidien gouvernemental égyptien Al-Gumhouriyya intitulé « L’arme secrète d’Israël », le rédacteur en chef adjoint de ce journal, Abd Al-Wahhab ’Adas, accuse les Juifs de tous les actes de terrorisme commis dans le monde, y compris des explosions de Madrid. Ci-après, quelques extraits de l’article [1] .

Une réunion du comité exécutif d’OLP et des chefs de toutes les factions palestiniennes dans le complexe du Président de l’Autorité Palestinienne Yasser Arafat à Ramallah n’a pas, dans la nuit de mercredi à jeudi, été suivie par les représentants du Hamas et du Jihad Islamique, a déclaré un officiel palestinien

Une nouvelle version moins « israélienne » du nouveau drapeau Irakien avec du bleu plus foncé a été publiée, hier.

A la demande de Colin Powell de déclarer solennellement que rien ne saurait justifier le nouvel antisémitisme mondial et encore moins la critique d’Israël, la réponse des 55 Etats représentés ne brille pas par son unité.

Le référendum des adhérents du Likoud sur le « plan de désengagement » du Premier ministre approche à grands pas, et, à en croire les journaux, l’inquiétude grandit dans l’entourage de celui-ci quant aux résultats. D’après le Yediot Aharonot , « A. Sharon est inquiet de l’opposition grandissante au plan de désengagement ».

La détonation, qui a eu lieu à 2h30, est apparemment le résultat de rivalités palestiniennes internes, qui ont tourné à la violence dans les mois récents.

Pour faire semblant de croire aux communiqués des officiels syriens quant à la description des actes de violence qui ont eu lieu hier à Damas, il faut soit être...

L’attaque terroriste qui s’est produite à Damas ce mardi soir est peut-être moins surprenante qu’il n’y paraît au premier abord : certes, a priori, on comprend mal pourquoi la mouvance du Djihad chercherait à frapper un pays qui lui offre de réelles facilités dans sa lutte contre la coalition interna-tionale en Irak ; mais, par ailleurs, la nature même du régime alaouite syrien et la férocité de la répression des mouvements intégristes dans ce pays peuvent malgré tout en faire une cible naturelle pour les Djihadistes sunnites.