Selon la chercheuse Adriana Dias, spécialiste de l’extrême droite brésilienne, le nombre de « cellules néonazies » aurait bondi de 75 à 530 au Brésil entre 2015 et 2021. En tout, quelque 500 000 Brésiliens seraient consommateurs de produits liés au IIIe Reich (éditions de Mein Kampf , bustes de Hitler, brassards, drapeaux…).
Mais c’est en ligne que les néonazis sont les plus actifs. L’ONG Safernet a observé sur la même période une augmentation de 600 % des dénonciations pour apologie du nazisme sur Internet.
Voir en ligne : https://israelvalley.com/2021/10/16...