Jean-Paul de Belmont - Primo Europe
jeudi 27 juillet 2006
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Pour beaucoup d’observateurs, Jacques Chirac a considérablement évolué dans son approche des problèmes qui frappent le Proche et le Moyen-orient. On a cru lire, dans ses dernières prises de position, une nette inflexion donnant l’impression qu’il a enfin pris la mesure du pouvoir de nuisance du chiisme politique et du terrorisme d’Etat de l’Iran et de la Syrie.