L’AIEA a donné jusqu’à vendredi à l’Iran et au trio États-Unis, Russie, France pour se prononcer sur « un projet d’accord » sur l’enrichissement à l’étranger d’une partie de l’uranium iranien à usage civil soumis à leurs négociateurs réunis depuis lundi à Vienne. Un accord entre l’Iran et les puissances nucléaires est considéré comme crucial pour tenter d’apaiser les tensions sur le programme nucléaire controversé, dont Téhéran affirme qu’il est purement civil alors que les pays occidentaux suspectent l’Iran de viser la fabrication d’une bombe atomique.
Voir en ligne : Lire la suite de l’article directement sur www.cyberpresse.ca