Rarement un pays n’a eu un choix aussi clair à faire que l’Iran, le 12 juin. Ce jour-là, 40 millions de gens votaient pour élire leur président. Le sortant, Mahmoud Ahmadinejad, promettait de continuer sa politique économique et son approche anti-occidentale, faite de négationnisme et de confrontation nucléaire. Son opposant principal, Mir Hossein Mousavi, s’engageait pour une réforme économique, plus d’ouverture vers l’Ouest, des droits de l’Homme et des négociations nucléaires.
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