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Devant la tragédie qui se développe dans le nord de la Syrie une étrange unanimité s’est faite pour dénoncer le coupable. Ces dizaines de familles fuyant leur foyer, les villes où elles ont grandi ; la longue liste des morts et des blessés, civils et militaires, les exécutions sommaires, les bâtiments détruits – eh bien c’est la faute de Donald Trump.
Pourtant ce ne sont pas ses troupes qui bombardent tirent, brûlent, ciblent des innocents. C’est le sultan d’Ankara qui a décidé d’envahir un pays voisin. Ce sont les troupes turques, les bombardiers turcs, les blindés turcs qui, agissant à l’intérieur d’un pays souverain au mépris du droit international, sont responsables de ces atrocités.
C’est un scénario qui se répète trop souvent en France. Cela commence par un crime – meurtre ou attentat. Immédiatement, et dans un réflexe quasi-pavlovien, autorités et médias entonnent en chœur que rien, absolument rien ne permet d’envisager une quelconque piste terroriste et d’ailleurs il n’est pas question de faire intervenir le parquet anti-terroriste. Et puis petit à petit cette belle assurance s’effrite. On commence à évoquer une radicalisation « d’origine récente » puis on passe à des détails plus concrets avant de déterminer avec le même aplomb qu’il s’agit bien d’un acte terroriste.
LireC’est arrivé la semaine dernière. Un brave père de famille israélien, qui habite à Beersheba, décide de se rendre chez le dentiste avec son fils de 17 ans. Détail : le dentiste est arabe et se trouve en Cisjordanie, lui. Plus précisément dans la zone « B » placée selon les accords d’Oslo sous régime mixte, administrée par l’Autorité palestinienne mais sous contrôle sécuritaire d’Israël.
Les Israéliens ne sont pas encouragés à s’y rendre mais ce n’est pas interdit. Les soins dentaires sont chers en Israël et la tentation est parfois grande de passer pour se faire soigner de l’autre côté où l’on peut trouver d’excellents praticiens.
Ce sont des chiffres véritablement effrayants. 61% des victimes d’assassinats et d’homicides en Israël sont arabes. Rappelons que les Arabes ne représentent que 20% de la population du pays. Faut-il le préciser ?, les auteurs de ces crimes appartiennent aussi à la communauté arabe.
Autre chiffre : 62% des Arabes victimes d’agressions n’osent pas porter plainte. C’est ce qui ressort de l’enquête menée par l’organisation « Abraham Initiatives » une ONG réunissant des Arabes et des Juifs œuvrant « pour l’égalité des droits des citoyens juifs et arabes dans un Israël vivant en paix avec un état palestinien répondant aux aspirations nationales du peuple palestinien.
C’est une histoire simple et tragique. Ce vendredi 23 août, un père de famille décide d’aller se baigner avec deux de ses enfants dans un plan d’eau issu d’une source naturelle et aménagé en piscine, non loin de la colonie de Dolev en Cisjordanie.
Les Schnerb ne sont pourtant pas des colons ; ils habitent à Lod, l’une des plus anciennes cités d’Israël. Située à une quinzaine de kilomètres de Tel Aviv, elle est proche de l’aéroport Ben Gourion qui, on s’en souvient, portait autrefois son nom. La ville compte près de cent mille habitants dont près d’un tiers d’Arabes. Eitan, Schnerb, le père, 47, est rabbin mais aussi titulaire d’un diplôme de secouriste. Le fils, Dvir, 19 ans, est étudiant dans une Yeshiva. Rina, 17 ans n’a pas encore terminé ses études au lycée mais cette grande fille rieuse est bien connue dans la ville où elle est monitrice dans le mouvement de jeunesse Bnei Akiva.
Rashida Tlaib est née à Détroit, dans le Michigan, où ses parents, originaires de la rive occidentale du Jourdain alors annexée par la Jordanie, s’étaient installés. C’est aux Etats-Unis qu’elle a fait ses études, s’est lancée en politique et a été élue au Congrès à l’âge de quarante-deux ans. Le drapeau palestinien sur ses épaules, elle a alors prononcé son premier discours, proclamant qu’elle serait la « voix » des Palestiniens auxquels sa victoire allait donner un nouvel espoir.
Cette Passionaria de leur cause a prêté serment sur le Coran (en traduction anglaise semble-t-il), portant une longue robe traditionnelle ornée de broderies palestiniennes.
« Alors Dieu changera ton sort et il te rassemblera de nouveau du milieu de tous les peuples où il t’aura dispersé » Conformément à la prédiction biblique, Israël s’est construit au travers de vagues successives d’immigration. Une immigration qui s’est faite généralement dans la douleur, les nouveaux venus ayant du mal à trouver leur place dans une société bien différente de celles où ils avaient grandi.
Dans les premières années de l’Etat, les Juifs d’Irak malgré leur longue et glorieuse culture ont été regardé de travers ; on se moquait parfois d’eux en les appelant « Irakiens pyjamas » par référence à la tenue que certains portaient encore.
« A la veille de la conférence économique prévue à Manama, à Bahreïn, les 25 et 26 juin, la Maison Blanche a dévoilé samedi 22 juin son plan de développement économique des territoires occupés palestiniens » titre Le Monde du 23 juin. Le quotidien exprime les plus grandes réserves sur les chances de succès de ce plan, présenté comme le volet économique de « l’affaire du siècle » qui devrait, selon le président Trump, mettre un terme au conflit israélo-palestinien. On relèvera au passage qu’en parlant de « territoires occupés » Le Monde occulte le fait que le plan porte aussi sur la Bande de Gaza, laquelle n’est pas occupée, Israël s’en étant totalement retiré il y a près de quinze ans.
LireAprès la vive tension du mois de mai et les affrontements à Gaza qui ont menacé un temps, non seulement la tenue de l’Eurovision à Tel Aviv, mais encore de se transformer en conflit généralisé, un calme relatif règne dans le sud du pays. En coulisses, une grande activité internationale se déploie. Les Egyptiens sont à la manœuvre, avec l’aide de Nicolas Mladenov, coordinateur des Nations Unies pour le Moyen-Orient et le soutien du Qatar qui n’hésite pas à puiser dans ses -vastes – coffres. Un calme relatif.
LireComment peut-on encore nier la responsabilité de la France ?
Cette année, la France officielle a commémoré avec une solennité particulière le 75e anniversaire de la rafle du Vel’ d’Hiv. Le président Macron a convié le Premier ministre israélien pour évoquer avec lui le souvenir des 13 000 juifs, dont un tiers d’enfants, arrêtés par la police française les 16 et 17 juillet 1942. Un peu plus de 8 000 d’entre eux ont été parqués dans des conditions inhumaines dans le Vélodrome d’Hiver durant cinq jours avant d’être envoyés vers les camps de la mort. Pour les enfants, les frères ou les parents des déportés qui ne sont jamais revenus, il s’agit d’une plaie toujours ouverte, d’autant qu’il a fallu attendre 1995 pour entendre le président Jacques Chirac reconnaître enfin la responsabilité de la France et déclarer : « La France, patrie des Lumières et des Droits de l’Homme, terre d’accueil et d’asile, la France, ce jour-là, accomplissait l’irréparable. Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux. »
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Ce Colloque des Intellectuels Juifs de Langue Française a pour thème, ’la montée des violences’. Ce thème aura toujours accompagné l’histoire de l’humanité. Violences politique, religieuse, sociale, économique, voire même discursive, les humains n’auront cessé de se faire violence, et ce même lorsqu’ils prétendaient l’éradiquer en cherchant à dispenser le bien. Cette relance du Colloque des Intellectuels Juifs de Langue Française apporte une attention toute particulière à ce qu’il convient de nommer une résurgence de la violence affectant aujourd’hui les communautés juives de France et d’Europe.
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