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Ils n’ont par ailleurs aucun leadership puisque le Fatah et le Hamas n’entendent pas lâcher les rennes du pouvoir (et la manne financière qui l’accompagne) ni aucune perspective professionnelle, compte tenu de la crise économique endémique qui frappe les territoires sous contrôles palestiniens. La seule constante reste la faute imputée aux juifs dans chacun de leur malheur.
Le 4 janvier 2016, deux personnes, ont encore été poignardées à Jérusalem par un terroriste, finalement neutralisé par les forces de police israélienne. Depuis le 3 octobre 2015, 23 personnes ont déjà succombé aux attaques meurtrières palestiniennes perpétrées avec des couteaux ou des voitures bélier (outre des dizaines de victimes blessées).
Le quotidien Haaretz du 6 novembre 2015 l’annonce : l’Union Européenne doit publier, le 11 novembre 2015, les nouvelles lignes directrices concernant l’étiquetage des produits en provenance des implantations de Cisjordanie, à destination des chaînes de distribution européennes.
La publication devait intervenir il y a de cela un mois, mais la chef de la politique étrangère de l’UE, Federica Mogherini, l’a différé en raison de la multiplication des assassinats d’israéliens par des Palestiniens.
Le 13 octobre 2015, l’Onu a critiqué « l’usage apparemment excessif de la force » employé par Israël à l’égard des palestiniens, depuis le déclenchement des attaques au couteau. Le porte-parole Stéphane Dujarric du secrétaire général de l’Onu Ban Ki-moon, a ainsi avancé que cet usage de la force « est troublant et doit être réexaminé sérieusement ». Il « contribue à aggraver la situation, ce qui mène à un cercle vicieux d’effusion de sang inutile » (sic). En d’autres termes, l’Onu tient Israël pour responsable du climat de violence actuel, bien que le jour même, trois nouveaux israéliens ont été sauvagement assassinés par des palestiniens dans deux attentats à Jérusalem. Manifestement, l’Onu minimise le rôle des agresseurs palestiniens et oublie les conditions de mise en oeuvre de la légitime défense en Droit international.
LireLe 30 septembre 2015, Mahmoud Abbas a prononcé un discours (pathétique) devant l’Assemblée Générale des Nations Unies, annonciateur d’une fin programmée du « concept palestiniste », c’est-à-dire de l’idée selon laquelle les palestiniens constituerait un peuple en mesure de jouir du droit à l’autodétermination. Sa seule présence et son discours ont, une nouvelle fois, illustré en quoi les palestiniens ne sont qu’un peuple inventé par la Charte de l’Olp en 1967, avec pour unique objet la destruction d’Israël.
Cette finalité les rend incapables de s’auto déterminer.
Mahmoud Abbas a entamé son discours sur la responsabilité internationale dans ce qui est couramment appelé « le drame palestinien » en évoquant le rôle de l’Unrwa (l’organisme qui finance les réfugiés palestiniens avec les impôts de l’occident, depuis décembre 1949).
Le 19 août 2015, 4 membres du Hamas ont été kidnappés dans le désert du Sinaï par des militants d’un groupe vraisemblablement affiliés à l’Etat Islamique. Le Hamas a immédiatement condamné les actes qu’ils qualifient de « barbares, lâches et odieux », comme si les terroristes prenaient conscience de l’interdiction d’enlever des personnes, ce mode opératoire inique prohibé par le bon sens, les textes religieux, ou les principes d’humanité.
Le Hamas a qualifié les enlèvements en usant de termes empreints d’humanité et de délicatesse, et non de mots guerriers.
Le 2 septembre 2015, les journaux, télévisions, réseaux internet ont largement diffusé la photo de l’enfant kurde retrouvé mort sur la plage de Bodrum (en Turquie), alors que sa famille tentait de rejoindre l’île de Kos en Grèce. Ce drame n’est pas sans rappeler les 2 500 personnes décédées, depuis le mois de janvier 2015, période pendant laquelle 330 000 personnes ont, néanmoins, réussi a gagné les côtes européennes. Le problème se pose donc de savoir si le monde occidental est responsable de la détresse humaine des candidats à l’immigration, et de leurs tentatives désespérées, pour fuir leur pays d’origine. Autrement dit, incombe-t-il au monde occidental de prendre en charge, seul, les prestations sociales qui seront versées, le logement qu’il conviendra de confier, et le cadre de vie qui sera offert aux ressortissants des pays, qui s’avèrent incapables de leur offrir des conditions de vie décentes.
LireLe 21 août 2015, le chef du Hamas Khaled Mechaal en exil à Doha, a reconnu l’existence de pourparlers directs avec Israël en vue de parvenir à une trêve de longue durée.
En contrepartie d’un arrêt des hostilités palestiniennes, il serait envisagé le désenclavement de la bande côtière, la reconstruction de la bande côtière et la création d’un port à Gaza. L’accord ne concernerait toutefois que la relation entre Israël et le Hamas, et serait limité, sur un plan géographique, à la bande de Gaza. Aussi, les discussions israélo Hamas déboucheraient sur une réalité occultée depuis plus d’une décennie, à savoir, l’existence d’un second Etat palestinien situé dans la bande de Gaza, aux côtés de l’entité palestinienne organisée autour de Ramallah (1).
Le 19 août 2015, la Cour Suprême Israélienne a suspendu la rétention administrative de Muhammad Allen, ordonnée le 6 novembre 2014, en raison de son appartenance au mouvement terroriste Jihad Islamique. La Cour Suprême a pris cette décision compte tenu de l’état de santé de l’avocat de la région de Naplouse qui avait entamé une grève de la faim pour contester le renouvellement de sa rétention administrative, décidée le 16 juin 2015.
La Haute Cour s’est déterminée en considération d’un examen par IRM (imagerie par résonance magnétique ) ayant révélé les risques de dommages cérébraux, susceptibles d’être provoqués par le défaut d’alimentation depuis deux mois.
Depuis le mois de juillet 2015, la société Afek d’exploration pétrolière et gazière israélienne procède à un second test de forage dans les hauteurs du Golan, dans le cadre d’un programme de recherches de nouvelles sources d’approvisionnement d’hydrocarbures.
Aussi, et en complément des champs gaziers du Léviathan et de Tamar en mer Méditerranée, Israël est sur le point de trouver une nouvelle source de production d’hydrocarbures.
La filiale Afek de la société Génie Oil and Gas, s’est ainsi vue confiée par le gouvernement, l’autorisation d’effectuer des opérations de forage pour 10 puits dans le plateau du Golan, afin de rechercher le combustible fossile.
Le 20 mai 2015, les jihadistes de l’Etat Islamique se sont emparés des villes de Ramadi (en Irak) et de Palmyre (en Syrie), petit joyau de l’humanité. Les populations de ces villes sont désormais sous l’emprise des terroristes et, en Syrie, les fidèles du régime de Bahar El Assad sont sauvagement éliminés, pendant que les pièces antiques des musées sont détruites ou pillées. Les islamistes entendent ainsi imposer aux populations locales, leur mode de fonctionnement de la cité (que personne ne partage), ce qui exige un effacement de toutes les traces de l’histoire qui contrediraient leurs convictions.
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