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Tandis que les Jeux olympiques de Londres fascinent le public mondial et que les chars et les avions massacreurs de Bachar Al-Assad gâchent, sans plus, le plaisir des âmes sensibles, la démission de Kofi Annan est accueillie par un silence tout estival. Pourtant, quand le médiateur de l’ONU en Syrie jette l’éponge, toute une époque s’achève en fiasco honteux. Ce Prix Nobel fut tour à tour numéro 1 puis numéro 2 de l’organisation internationale, diplomate ghanéen affable, il afficha des sentiments bienveillants, humanitaires et pacifiques récompensés par des résultats catastrophiques.
LireUn événement qui ne se produit pas occupe rarement la « une » des informations. Les reporters s’attachent à décrire ce qui se passe, ils ne sont pas chargés d’inventorier ce qui ne se passe pas. Certains notèrent pourtant qu’en Tunisie comme en Egypte, au plus chaud des manifestations millionnaires, nul n’a songé à brûler des drapeaux ni l’américain ni l’israélien, aucune effigie de Barack Obama ou de Benyamin Nathanyaou piétinée face caméra, pas de slogans vengeurs « Palestine vaincra » ou « Mort à Israël ».
LireDans le Figaro du 30 avril 2010, le philosophe André Glucksmann s’interroge sur le phénomène des commandos suicides dans les opérations terroristes.
Voyez les hommes, femmes et enfants sortis en loques du métro de Moscou, entendez les angoisses touchant les bricolages de matières fissiles dérobées (ou fournies), constatez combien l’artisanat du pire menace.
Devant un conflit, l’opinion se divise entre les inconditionnels qui ont décidé une fois pour toutes qui a tort et qui a raison, et les circonspects qui jugent en fonction des circonstances telle ou telle action comme opportune ou inopportune, quitte à retenir, s’il y a lieu, leur jugement jusqu’à plus ample informé.
LireUn mot suffit pour soulever la tempête. Immédiatement les encriers des commentateurs entrent en ébullition et les chancelleries d’Europe occidentale publient leur désapprobation d’une façon fort peu diplomatique. En évoquant le risque de guerre qu’implique la volonté iranienne de construire la bombe, et la nécessité de s’y préparer afin de l’empêcher, Bernard Kouchner aurait-il commis un blasphème témoignant de sa naïveté et de son manque de métier ?
LireNé en France de parents juifs autrichiens, André Glucksmann est un philosophe engagé. Il se penche notamment sur les tenants, les aboutissants et les stratégies de guerre.
LirePas de liberté pour les ennemis de la liberté ! », « Interdit d’interdire ! ». Pareils slogans abritent des injonctions paradoxales prêtant à discussions interminables. Le désabusé conclut que la tolérance est une affaire compliquée et un concept confus.
LireL’indignation de beaucoup d’indignés m’indigne à mon tour. Pour l’opinion publique mondiale, certains morts musulmans pèsent le poids d’une plume, d’autres des tonnes. Deux poids, deux mesures. Le meurtre terroriste d’une cinquantaine de civils chaque jour à Bagdad est relégué à la rubrique des faits divers, tandis que le bombardement qui tue vingt-huit habitants à Cana est élevé au rang de crime contre l’humanité - seuls quelques rares esprits comme Bernard-Henri Lévy et Magdi Allam, rédacteur en chef du Corriere della Sera, s’en étonnent.
LirePourquoi cette haine de l’Amérique ? Pourquoi, plus largement, ce vertige de nombreux intellectuels qui, non contents de faire des Etats-Unis la cause du « désordre mondial », expliquent la rage terroriste jusqu’à lui trouver des excuses ? Trente-cinq ans après son premier livre, Le Discours de la guerre, où il interrogeait la stratégie américaine au Vietnam, André Glucksmann, qui s’est toujours refusé à sataniser Washington, propose, dans un livre événement, Le Discours de la haine (Plon, 18 €, 235 p.), une lecture aiguë du « déséquilibre des terrorismes », cette époque où le « désir de détruire prolifère ».
LireDepuis bientôt quarante ans, André Glucksmann publie des livres qui sont autant de cris d’alarme. Dans son nouvel ouvrage, « Le discours de la haine » (Plon), il expose que jamais les forces de destruction n’ont été aussi menaçantes pour l’avenir de l’humanité. Il s’en explique à un autre philosophe, Roger-Pol Droit.
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