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La France et Israël obtiennent le vote des sanctions contre l’Iran
Le Flash info du Jerusalem Post édition française
Article mis en ligne le 4 mars 2008

Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté lundi 3 mars à une écrasante majorité de ses membres une troisième série de sanctions contre l’Iran pour son refus de suspendre son programme d’enrichissement d’uranium.

La résolution, qui introduit pour la première fois un embargo commercial sur les produits ayant un usage à la fois civil et militaire, a été adoptée par 14 voix contre zéro, l’Indonésie s’abstenant.

La Grande-Bretagne et la France, à l’initiative de cette résolution, avaient reporté son vote de samedi à lundi de manière à convaincre les 4 membres non-permanents du conseil de sécurité - opposés aux sanctions - à voter en leur faveur. Ces 4 pays sont la Lybie, l’Indonésie, l’Afrique du sud et le Vietnam.

Au cours du vote final, la Lybie, l’Afrique du sud et le Vietnam se sont alignées sur la position de la majorité, votant « oui », tandis que l’Indonésie s’est abstenue.

Les diplomates créditent le président français Nicolas sarkozy, qui s’est rendu en Afrique du sud la semaine dernière, du vote de ces sanctions. Il aurait profité de son voyage pour convaincre ses hôtes ainsi que la Lybie et le Vietnam. La France s’est montrée particulièrement offensive sur le dossier de l’Iran depuis l’élection de Sarkozy au poste de président.

L’ambassadeur iranien auprès de l’ONU, Mohammad Khazee, avait déclaré au Conseil peu avant le vote que son gouvernement ne se conformerait pas à cette « acte illégal » contre son « programme nucléaire pacifique ». Il a déclaré par la suite que son pays ne reconnaissait pas l’ONU, qui laisse un génocide se produire contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza.

D’après l’avis des experts, l’Iran est le dossier prioritaire d’Israël. Non seulement l’Iran cherche à développer l’arme nucléaire, mais il utilise aussi la Syrie pour armer les groupes terroristes. Le Hamas et le Hezbollah dépendent de lui financièrement et militairement, ce qui a autorisé des responsables du Mossad (services de renseignements israéliens) à déclarer que l’Iran était à l’origine de tous les troubles dans la région.

L’unanimité est totale dans la classe politique israélienne sur la nécessité de combattre les menées de l’Iran.

L’ambassadeur à l’ONU Dan Gillerman a confié ce matin à la radio Kol Israël sa satisfaction. Il a cependant précisé qu’il s’agissait seulement d’une étape. Depuis des mois qu’Israël oeuvre à l’ONU pour obtenir un nouveau cycle de sanctions contre l’Iran, le ministère des Affaires étrangères estime qu’il s’agit d’une nouvelle victoire diplomatique pour l’Etat hébreu.

Olmert se réjouit des sanctions contre l’Iran, mais ...

Le Premier ministre Ehoud Olmert a exprimé en début d’après-midi mardi 3 mars sa satisfaction devant la décision du conseil de sécurité de l’ONU d’appliquer un troisième cycle de sanctions contre l’Iran. Celles-ci font suite au refus de Téhéran de mettre un terme à son programme nucléaire.

Cependant, Olmert a précisé qu’il s’agissait seulement d’une étape et que la communauté internationale devrait prendre d’autres mesures - qui seraient décidées par elle, et non par Israël.

Olmert a également déclaré que la menace iranienne n’était pas la priorité d’Israël qui était tout à fait en mesure de se défendre contre toute menace étrangère.

L’ONU s’inquiète pour Israël

Israël estime que le Hezbollah est en train de se réarmer et qu’il est actuellement en possession de 10 000 missiles longue-portée ainsi que de 20 000 roquettes, a déclaré le secrétaire-général de l’ONU Ban Ki-Mooon dans un rapport au conseil de sécurité.

Quoique le rapport de Ban ne confirme pas les estimations d’Israël, le secrétaire-général des Nation-Unies a répété que les dernières déclarations du chef du Hezbollah Hassan Nasrallah étaient inquiétantes. Il a également rappelé sa vigilance suite aux rapports persistants pointant des brèches dans l’embargo qui interdit toute livraison d’armes au Hezbollah.

Ban a déclaré qu’il se sentait très concerné par « les menaces de guerre ouverte contre Israël » proférées par Nasrallah.

Dimanche 2 mars, tout en condamnant l’opération militaire d’Israël dans la bande de Gaza, la qualifiant de « disproportionnée », Ban avait également qualifié les tirs de roquettes « d’actes terroristes ». Il est le premier diplomate et le premier secrétaire-général de l’ONU à utiliser le terme de « terrorisme » dans une déclaration officielle pour qualifier les tirs de roquettes contre Sderot et le Néguev.

Peres reçoit le président hongrois en Israël

Le président hongrois Laszlo Solyom, qui est en visite officielle en Israël, a confié au président Shimon Peres lundi 3 mars qu’il espérait que la crise entre Israël et les Palestiniens était une « pause » dans le processus de paix.

Solyom est le premier chef d’Etat hongrois à visiter Israël depuis 16 ans.

Il a déclaré être attristé de venir à un moment où le processus de paix était enfermé dans une impasse. « J’espère que c’est seulement une pause, parce que le processus de paix doit continuer », a-t-il commenté. Le président hongrois est connu comme étant un militant engagé dans la promotion les droits de l’homme. Il a cependant déclaré que chaque pays devait combattre le terrorisme parce que celui-ci portait atteinte au droit de l’homme élémentaire de vivre. Il a ajouté que ce droit ne devait pas non plus être oublié par ceux qui combattaient le terrorisme.

« Vous êtes venu dans notre pays au moment où nous nous battons pour garantir l’existence de nos citoyens à Sderot et Askhelon, et leur droit à une vie normale - tout simplement, au moment où nous nous battons pour survivre », a déclaré Peres qui accueillait le président de Hongrie à sa résidence officielle. « Nos citoyens, nos femmes et nos enfants, vivent sous la menace injustifiable et constante d’attaques organisées par un mouvement religieux extrémiste dont le seul but véritablement clair est de tuer et d’assassiner », a-t-il continué.

Solyom a rappelé que la Hongrie avait la troisième communauté juive du monde et que la vie communautaire était florissante. Il a insisté sur les très bonnes relations économiques et culturelles entre la Hongrie et Israël, déclarant son souhait de les voir encore se développer.

Israël est le troisième investisseur en Hongrie - principalement dans les nouvelles technologies - pour une totalité de 3 milliards de dollars. Ce partenariat devrait encore se renforcer.

Une roquette Grad tombe à côté de la maison de Dichter

L’armée a annoncé qu’une roquette de type Grad était tombée dans la nuit de lundi 3 mars près de la maison du ministre de la Sécurité intérieure Avi Dichter.

Un garde du corps du ministre avait été légèrement blessé par des éclats de Kassam la semaine dernière tandis que Dichter était venu à Sderot visiter le collège Sapir, régulièrement la cible de roquettes. la semaine dernière, l’une d’elle avait fait un mort.

Par ailleurs, une roquette Kassam a frappé une maison de Sderot mardi 4 mars dans la matinée. Elle a provoqué des dégâts sévères mais on ne déplore pas de blessés.

Le ministre Rafi Eitan favorable à un « mandat britannique » dans la bande de Gaza et la Cisjordanie

Le ministre en charge des retraités, Rafi Eitan, a déclaré mardi 4 mars sur la radio militaire que les Palestiniens avaient « perdu tout droit à un Etat palestinien autonome ». Il a expliqué que les dirigeants palestiniens n’avaient aucun contrôle sur le terrain, ce qui enlevait toute légitimité à leurs revendications d’indépendance.

Eitan a continué en ajoutant qu’une force internationale devrait être déployée dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, la première sous la direction de l’Egypte et la seconde sous celle de la Jordanie.

Eitan a évoqué quelque chose qui ressemble à un « mandat britannique », quand les Anglais s’étaient vu confiés des territoires du Moyen-Orient pour « aider les peuples à faire le chemin qui les mènerait à leur indépendance ».

Le Likoud repousse l’offre du Shas

Le président du parti orthodoxe sépharade Shas, Eli Yishaï, a proposé au président du Likoud, Benyamin Netanyahou, de participer à un gouvernement d’union nationale pour affronter les menaces qui pèsent sur Israël.

Yishaï a expliqué : « Il s’agit d’une bataille pour notre existence. Le front du nord [l’Iran et le Hezbollah] ne se calme pas. L’option diplomatique n’est pas réaliste et n’est pas envisagée. J’agirai pour former un gouvernement d’urgence qui affronte les problèmes d’une manière pratique. La situation sécuritaire est complexe et difficile », a expliqué Yishaï.

Il s’est exprimé lundi 3 mars, après une semaine difficile pour les habitants de Sderot, d’Askhelon et du sud d’Israël qui a obligé Tsahal à pénétrer de nouveau dans la bande de Gaza pour y conduire une opération militaire.

Le Likoud a repoussé l’offre déclarant que « cela est hors de question ».

Amir Peretz sort de son silence

L’ancien ministre de la Défense a déclaré mardi 4 mars au matin sur la radio Kol Israël que les maisons de Gaza qui servent à lancer des roquettes contre le sud d’Israël devraient être détruites.

S’exprimant depuis Sderot, il a expliqué que si les maisons étaient transformées par leurs habitants en laboratoires de fabrication d’explosifs et de missiles ; si elles servaient à cacher des terroristes, alors les habitants devaient en subir les conséquences. En revanche, il a précisé que si les habitants étaient contraints par la force à collaborer avec les organisations terroristes, il ne fallait en aucune manière détruire leurs biens.

Peretz s’est exprimé le jour où le ministre de la Défense Ehoud Barak consulte les personnalités juridiques pour savoir si l’armée peut conduire des attaques aériennes contre des zones peuplées.

Le Hamas et les autres organisations terroristes agissent toujours depuis des zones résidentielles, utilisant les civils comme boucliers.

Emeutes à Jérusalem Est

Des centaines de jeunes arabes ont jeté des pierres contre des voitures, la police, et des passants dans Jérusalem Est lundi 3 mars. Il s’agissait de la seconde journée consécutive de violences dans la partie arabe de la ville où les manifestants protestaient contre les opérations militaires dans la bande de Gaza.

Dans l’incident le plus grave, deux inspecteurs municipaux se sont retrouvés bloqués à l’intérieur de leur véhicule, coincé par des poubelles incendiées, tandis que les jeunes lançaient des pierres contre leur voiture. Certains sont montés sur le véhicule, armés de barres d’acier.

D’après les images visibles hier soir sur la seconde chaine de télévision, la voiture, d’abord immobilisée, a réussi a se frayer un chemin en contournant les poubelles. C’est de cette manière que les inspecteurs sont parvenus à échapper à ce qui ressemblait fort à une tentative de lynchage.

Quelques minutes après, une unité d’élite de la police de Jérusalem, renforcée par une unité anti-terrorisme de la police des frontières, a donné l’assaut, arrêtant les leaders du mouvement de protestation.

Les émeutes se sont déroulées à quelques mètres du ministère de la Justice et du tribunal de district.

150 étudiants arabes de l’Université hébraïque de Jérusalem ont également manifesté contre les opérations militaires. Ils brandissaient des drapeaux de la Palestine, chantant un slogan très populaire dans les mouvements de « libération » de la Palestine : « Avec notre sang et notre âme nous libérerons la Palestine ». Alors qu’ils se tenaient à l’entrée du Mont Scopus, ils ont rencontré un groupe d’étudiants juifs leur faisant face. Un affrontement a été évité grâce à la présence des forces de police.

Les forces de sécurité estiment que ces irruptions de violences n’étaient pas organisées. Elles ont été qualifiées d’exceptionnelles et de rares, et la police ne s’attend pas à une répétition. Cependant, par mesure de précaution, des forces de sécurité supplémentaires seront déployées dans la vieille ville vendredi, jour de la grande prière des musulmans.

Les groupes terroristes célèbrent leur « victoire » à Gaza

Le Hamas et ses alliés dans la bande de Gaza ont célébré lundi 3 mars leur « victoire » en promettant de continuer le combat jusqu’à ce que « la Palestine soit libérée de la rivière à la mer ». De son côté, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a renouvellé ses appels en faveur d’un cessez-le-feu total avec Israël, expliquant qu’il voulait éviter aux Palestiniens d’autres morts et d’autre souffrances.

Abbas a appelé Israël à accepter son initiative. Il a également annoncé que son gouvernement avait décidé d’allouer 5 millions de dollars à tous les Palestiniens qui avaient été affectés par l’opération militaire israélienne.

Le Premier ministre Salaam Fayad a confié que l’opération de Tsahal était la plus sévère depuis 1967. Sa référence à la guerre des 6 jours répondait probablement au discours enflammé du leader du Hamas Mahmoud Zahar qui avait déclaré à Gaza que « cette victoire est notre guerre des 5 jours ». Abbas a ajouté qu’en dépit des déclarations d’Israël selon lesquelles l’opération était terminée, la situation était toujours « très, très dangereuse ».

Zahar, qui a passé les 5 derniers jours dans une cachette comme la majorité des leaders du Hamas, a annoncé que la prochaine étape pour le Hamas serait de percer la frontière avec Israël. S’adressant aux Israéliens, il a déclaré :« Avant de penser à bombarder les maisons et à envahir [la bande de Gaza], pensez à la manière dont vous parviendrez à protéger vos maisons quand les soldats du Hamas entreront dedans. La prochaine étape est de libérer Jérusalem et toute la terre de Palestine de la rivière à la mer ».

Zahar a également indiqué que le soldat Gilad Chalit ne serait pas libéré tant qu’Israël ne répondait pas positivement aux demandes du Hamas. Il a révélé un plan d’aide destinés aux Palestiniens qui ont souffert de l’opération militaire. Selon lui, le fait que l’armée israélienne ne soit pas restée dans la bande de Gaza est le signe qu’elle a échoué.

Tous les groupes terroristes se sont disputés le crédit de la « victoire » contre Israël, comme cela avait été le cas après la seconde guerre du Liban.

Un habitant d’une implantation attaqué par 40 à 50 Palestiniens tue l’un de ses assaillants

Un habitant d’une implantation a tiré sur un Palestinien de 17 ans lundi 3 mars près de la ville de Ramallah. Il a déclaré à la police qu’il avait ouvert le feu sur un groupe constitué de dizaines de Palestiniens masqués qui jetait des pierres contre lui. Il a eu peur d’être lynché, a déclaré la police.

Dans son enquête initiale, l’armée a déclaré que l’action de l’homme était justifiée.

Le résident de l’implantation Neria, en Cisjordanie, a dit à la police qu’il marchait de sa maison au centre d’études quand il a soudainement été attaqué par un groupe de 40 à 50 Palestiniens masqués qui lui jetaient des pierres. L’homme, qui s’est « senti en danger de mort », a ouvert le feu en premier, tirant d’abord dans l’air. Ensuite seulement, il a visé les jambes d’un Palestinien, a déclaré le porte-parole de la police Micky Rosenfeld.

L’Israélien, qui a été interrogé par la police durant tout l’après-midi, est ensuite retourné sur les lieux de l’incident accompagné par la police pour faire une reconstitution. Il a été libéré dans la soirée et est placé en liberté conditionnelle. La décision de le mettre en détention ou de le garder en liberté conditionnelle était attendue lundi soir.

La famille de la victime palestinienne a refusé de laisser la police pratiquer une autospie sur le corps pour déterminer les causes de la mort.

Israël ouvre les passages de Kerem Shalom et de Soufa

Israël a ouvert aujourd’hui les passages de Kerem Shalom et de Soufa qui contrôlent l’entrée de la bande de Gaza. 160 camions chargés de médicaments et de produits de consommation sont entrés dans Gaza immédiatement.

C’est la première fois que les points de passage sont ouverts entre la bande de Gaza et Israël depuis que le Hamas a fait éclater la frontière de Rafiah, ouvrant le passage entre la bande de Gaza et l’Egypte.

Cette décision intervient un jour après que le ministre de la Santé de l’Autorité palestinienne Fathi Abou Mogli a appelé le responsable de la coordination dans les territoires - le général Yossef Mishlav - à faire quelque chose. Il l’a alerté sur la dégradation des conditions de santé dans la bande de Gaza.

La voix arabe de Tsahal

Pour près de 200 millions de personnes de langue arabe, de l’Inde à l’Indonésie, Tsahal a un visage et un nom : Avichay Adraee. Le seul membre du bureau des portes-parole de l’armée parlant arabe a eu beaucoup de travail la semaine dernière. Il a du présenter la perspective de Tsahal sur les tirs de roquettes et l’opération militaire à tous les médias de langue arabe.

Adraee souligne rapidement que c’est une erreur de voir les médias arabes comme un bloc monolithique, même sur un sujet tel que l’opération militaire dans la bande de Gaza : « Certains organes de presse sont beaucoup plus pragmatiques, et ne suivent pas le Hamas en tous points. Ils peuvent même poser des questions très embarrassantes et très dures pour l’autre côté ».

« Al-Jazeera [télévision basée au Qatar mais qui emet dans le monde entier] était très, très militant alors qu’Al-Arabiya [télévision arabe] était informatif. Al-Arabiya a montré qu’il était au fait de l’immense pouvoir des médias dans le monde arabe et qu’il ne voulait pas l’utiliser pour embraser la région » commente Adraee.

Dans certains cas, Adraee a essayé de présenter la situation comme étant une simple bataille entre un Etat et des terroristes, une analogie parlante pour les pays arabes et musulmans modérés tels que le Maroc ou la Tunisie qui luttent également contre les organisations terroristes.

Le journal le plus diffusé dans le monde arabe, A-Sharq Al-Awsat, édité à Londres, n’a pas été convaincu lui même par le discours de victime du Hamas qui se concentrait essentiellement sur les morts d’enfants. Deux articles ont été publiés attaquant le Hamas, l’accusant d’avoir donné un prétexte à Israël et expliquant que les tirs de roquettes faisaient plus de mal aux Palestiniens qu’aux Israéliens.

Parfois, les efforts d’Adraee se résument en une simple tournure de phrase. S’étant retrouvé par surprise face à un leader du Hamas sur le programme arabe de la BBC, alors que celui-ci répétait le même discours de victime, Adraee s’est contenté de répondre par une expression arabe disant : « Tu me frappes et tu te mets à pleurer ». Après ce commentaire, il a reçu des messages de félicitations de téléspectateurs arabes.

C’est ce retour qui rend le travail d’Adraee moins ingrat. « Je n’essaye pas d’ouvrir une branche du mouvement sioniste à Beyrouth, mais si j’ai réussi à convaincre une personne à l’autre bout du monde, alors je suis content ».

INTERNATIONAL

Un soldat français porté disparu au Tchad

Un soldat français de l’EUFOR, la force européenne déployée dans l’est du Tchad, est porté disparu après que son véhicule a essuyé des tirs du côté soudanais de la frontière, a-t-on appris lundi 3 mars auprès du ministère de la Défense et de l’EUFOR.

Un autre soldat, français également, a été blessé dans l’incident, qui s’est produit lundi après-midi.



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