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La question des implantations au centre de la visite de Bush en Israël
Le flash info du Jerusalem Post édition française
Article mis en ligne le 9 janvier 2008

Les responsables de l’Autorité palestinienne vont aborder la question des implantations et des constructions à Jérusalem Est avec Bush au cours de sa visite à Ramallah jeudi. L’Autorité palestinienne entend profiter de cette visite pour faire pression sur Israël et l’obliger à cesser toute construction d’implantations.

Ahmed Abdel Rahman, l’un des conseillers du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, a annoncé que l’Autorité palestinienne allait demander de nouveau à Bush qu’Israël se retire derrière les frontières de 1967, y compris à Jérusalem.

« Il n’y aura jamais de vraie paix tant qu’Israël n’acceptera pas la solution de deux Etats », a-t-il continué. « Ceci signifie un retrait complet de tous les territoires occupés depuis 1967. Mais Israël travaille à construire un pays pour les colons en Cisjordanie. Israël travaille aussi à changer le caractère arabe et islamique de Jérusalem ».

Abdel Rahman a confié que « les forces de sécurité palestiniennes ne veilleront pas à la sécurité des colons et des implantations en Cisjordanie. Toutes les implantations sont illégales et les colons n’ont aucune place dans les territoires palestiniens ».

Les officiels de l’Autorité palestinienne ont déclaré qu’Israël se trompait en pensant que les Palestiniens accepteraient la présence d’implantations en Cisjordanie.

« Nous n’accepterons jamais aucun colon ni aucun soldat d’occupation sur nos terres », ont-ils insisté.

Interrogés sur le message qu’Abbas allait délivrer à Bush, les officiels de l’Autorité palestinienne ont déclaré que celui-ci allait dire « oui à la paix, oui à la solution de deux Etats, oui au retrait total jusqu’aux frontières de 1967, oui à une solution juste pour les réfugiés palestiniens, oui à la libération de tous les prisonniers palestiniens retenus dans les prisons israéliennes ».

ISRAËL - AUTORITE PALESTINIENNE

Le rav Ovadia Yossef appelle à ne plus parler avec l’Autorité palestinienne

Dans une conversation avec Eli Ishaï, le rav Ovadia Yossef a déclaré que « les négociations entre Israël et l’Autorité palestinienne n’ont pas lieu d’être tant que l’Autorité palestinienne n’est pas capable de contrôler les territoires placés sous sa responsabilité, tant que des roquettes continuent d’être tirées contre Israël, et tant que des Juifs sont tués en Judée et en Samarie ».

L’information a été délivrée par la radio israélienne mercredi 9 janvier tôt dans la matinée.

Le rav a eu cet entretien avec le président du parti orthodoxe Shas, dont il est le leader spirituel, quelques heures avant l’arrivée du président Bush en Israël.

Il est prévu que le président américain essaye d’accélérer les pourparlers entre Israéliens et Palestiniens, de manière à arriver à un accord définitif entre les deux parties d’ici fin 2008, comme il l’avait annoncé à la conférence d’Annapolis.

La ministre des Affaires étrangères Tsipi Livni et l’ancien Premier ministre de l’Autorité palestinienne Ahmed Quorei, qui président respectivement les équipes de négociation israélienne et palestinienne, sont censés aborder les questions clés que sont Jérusalem, les frontières, les implantations et les réfugiés.

L’administration américaine semble avoir durci sa position envers Israël. La secrétaire d’Etat Condoleezza Rice annonçait hier dans une interview au Jerusalem Post que les Etats-Unis sont fermement opposés à la construction de quartiers juifs dans les parties de Jérusalem qui sont au-delà de la ligne de 1967. Ce qui inclut le projet de Har Homa.

D’autre part, le président Bush a appelé il y a quelques jours au démantèlement des avant-postes en Judée-Samarie.

Eli Ishaï entend intervenir en faveur de la libération de Jonathan Pollard, le citoyen américain accusé d’espionnage au profit d’Israël, qui purge une peine de prison aux USA.

Un mort et 6 blessés dans une frappe aérienne à Gaza

L’armée israélienne a tiré mercredi 9 janvier un missile contre des activistes qui s’apprêtaient à lancer une roquette dans le nord de la bande de Gaza, provoquant la mort d’une personne et en blessant six autres, ont annoncé des médecins et des militants.

Le Djihad islamique a indiqué que ses hommes étaient en train de lancer une roquette quand ils ont été touchés par un missile sol-sol.

Les médecins ont confirmé la mort d’une personne et le fait que 6 personnes ont été blessées, dont deux grièvement.

Quatre roquettes avaient touché le sud d’Israël mercredi matin, sans faire de blessé, a précisé la radio israélienne.

3 roquettes sur le Néguev, dont une frappe une maison

La radio militaire annonce que trois roquettes supplémentaires sont tombées dans le Néguev.

L’une d’elles a frappé une maison de Sdérot, causant des dégâts au bâtiment.

Des personnes ont été hospitalisées suite au choc.

Le frère du propriétaire de la maison a déclaré à la radio que la roquette était tombée dans le lit du fils de son frère. Heureusement, celui-ci n’était pas à la maison.

Il a continué en demandant : « Combien de temps pourrons-nous continuer à vivre en comptant sur des miracles ? »

Il a accusé l’Etat d’Israël d’avoir abandonné les habitants de Sdérot.

9 roquettes sont tombées mercredi 9 janvier depuis le début de la matinée.

Boaz Yona rentre en Israël

L’homme d’affaires Boaz Yona, qui avait fui Israël et trouvé refuge en Italie, devrait être livré à la justice israélienne pour être jugé. Ainsi en a décidé mardi 8 janvier le tribunal de Venise.

Suite à une mauvaise gestion de son entreprise de construction, Yona l’avait conduite à la faillite, laissant des dizaines de familles endettées et sans logement.

Elles continuent à payer les emprunts bancaires qu’elles ont contractés pour acheter des appartements sur plan qui ne seront jamais livrés.

De nombreuses personnes parmi elles souffrent de problèmes de santé consécutifs à leur situation financière.

Les familles restent cependant très sceptiques devant les suites juridiques qui seront données à l’un des plus grands scandales qu’ait connu la société israélienne.

Jonathan Pollard appelle Israël depuis sa prison

Jonathan Pollard, le citoyen américain accusé d’espionnage au profit d’Israël, a exprimé mardi 8 janvier son indignation devant l’invitation du ministre en charge des Retraités, Rafi Eitan, au dîner organisé en l’honneur du président Bush jeudi soir.

Eitan, un ancien agent du Mossad, était « l’agent traitant » de Pollard. Malgré les promesses d’Eitan de l’aider s’il était pris en flagrant délit, Pollard n’a jamais reçu d’aide de lui et purge maintenant une peine de prison depuis 23 ans aux Etats-Unis.

« Je suis choqué et dégoûté par le fait que Rafi Eitan dîne avec le président », a déclaré Pollard au Jerusalem Post par l’intermédiaire de sa femme Esther.

« Cet homme devrait être en prison, au moins jusqu’à ce que je sorte, sinon après. Il est directement responsable du fait que j’ai été abandonné, il a fait tout ce qui était en son pouvoir pour que je reste en prison et m’a dit qu’il regrettait de ne pas m’avoir tué quand il en avait eu l’occasion ».

Esther Pollard a déclaré qu’en invitant Eitan au dîner avec Bush, Olmert se faisait complice. Elle a expliqué que cette invitation nuisait aux chances de libération de son mari, parce qu’elle prouvait qu’Olmert était plus soucieux de plaire aux partenaires de sa coalition que de secourir un agent israélien en prison.

D’après elle, tous les officiels américains qui connaissent le dossier sont en faveur de cette libération, d’autant que Pollard a purgé 5 fois la peine de prison habituellement prévue dans ce genre de circonstances.

Le président du Shas, le parti orthodoxe sépharade, Eli Ishaï - qui est également invité au dîner jeudi soir - a prévu d’utiliser l’occasion pour donner au président Bush une lettre d’Esther Pollard ainsi que du rav Ovadia Yossef en faveur de la libération de Pollard. Ishai a dans l’intention de dire à Bush que si Pollard était libéré, cela permettrait au Shas de soutenir la libération de prisonniers palestiniens.

La police a dispersé une manifestation organisée en faveur de la libération de Jonathan Pollard mercredi 9 janvier en milieu d’après-midi.

Le groupe de manifestants était stationné au carrefour de la rue Rabin et Zusman quand la police est intervenue.

Moshe Levi, le 12e chef d’état-major, décède à 71 ans

Moshe Levi est mort à l’âge de 71 ans à l’hôpital Haemek d’Afoula dans la nuit du lundi 6 janvier.

Il avait été hospitalisé suite à une attaque cérébrale le 1er janvier.

Ses funérailles se dérouleront mercredi 9 janvier vers 14h30 au cimetière militaire du kibboutz Beit Alfa.

Moshe Levi, surnommé « Moshe Vahetsi » - Moshe et demi - à cause de sa grande taille, avait été nommé chef d’état-major à la suite de la première guerre du Liban.

Il avait servi à ce poste de 1983 à 1987 avant de mettre un terme à sa carrière militaire après 33 ans de service.

Moshe Arens, le ministre de la Défense qui l’avait nommé à ce poste, a déclaré au Jerusalem Post que Levy était « singulièrement dévoué à l’armée ». Contrairement à d’autres officiers importants, il n’avait jamais laissé les ambitions et les vues politiques influencer sa carrière militaire.

L’un des successeurs le Levy, Amnon Lipkin-Shahak, a déclaré à la radio militaire que Levy avait reconstruit l’armée après la guerre du Liban.

La disparition du pilote Ron Arad, dont l’avion s’était écrasé en territoire libanais en 1986, se déroula également pendant son mandat à la tête de l’état-major.

Le président Shimon Pérès a décrit Levy comme « une personne sérieuse dont le sérieux faisait partie de son caractère. Il pesait chaque question d’une manière prudente mais jamais condescendante. Il était exceptionnellement courageux et dévoué, et pendant son service, ses actions furent toujours libres de toute controverse ».

Né en 1936 à Tel-Aviv, d’une famillle d’immigrés irakiens, Levy a été le premier chef d’état-major d’origine orientale et le premier à avoir commencé sa carrière dans Tsahal et non dans les groupes clandestins qui menèrent la guerre d’Indépendance.

Incorporé dans les Golani en 1954, Levy avait rejoint l’unité des parachutistes nouvellement créée avec laquelle il avait pris part à la campagne du Sinaï en 1956.

Sa carrière avait avancé progressivement jusqu’à ce qu’il prenne les commandes de la Brigade de la vallée du Jourdain entre 1968 et 1970, période marquée par de nombreuses opérations contre les terroristes infiltrés depuis la Jordanie.

Après sa démission de l’armée, Levy était retourné à son kibboutz Bet Alpha.

Levy laisse derrière lui une femme, 5 enfants, et 5 petits-enfants.

Le président Bush a atterri à l’aéroport Ben Gourion

Après que les hymnes américain et israélien ont été joués par la fanfare de l’armée, la mélodie de la chanson de Naomi Shemer, « Jérusalem d’or », a spécialement été jouée en l’honneur du président Bush qui aime Jérusalem.

Après le discours de bienvenue du président Shimon Pérès, le Premier ministre Olmert a pris la parole pour accueillir son invité qui passera 48 heures en Israël.

Un groupe d’al-Qaïda derrière le tir de Katiouchot sur Shlomit

Un groupe terroriste palestinien serait responsable du tir des 2 Katiouchot sur la ville de Shlomit, dans le nord du pays, qui a eu lieu mardi 8 janvier, la veille de l’arrivée du président George Bush en Israël.

Les roquettes ont été tirées apparemment depuis les montagnes proches de la frontière et du village libanais de Labouna.

Le ministre de la Défense Ehoud Barak a qualifié l’attaque « de grave incident » mais a déclaré qu’Israël n’envisageait pas de mener une action qui modifierait le statu-quo installé à la frontière libanaise depuis l’été 2006.

Israël a présenté une plainte au Conseil de sécurité de l’ONU.

Les officiels de la défense israéliens, ainsi que des officiers de la FINUL, la force d’interposition des Nations unies, ont déclaré au Jerusalem Post que le coupable le plus vraisemblable était un groupe terroriste palestinien, tel que le Fatah al-Islam installé dans le camp de réfugiés de Nahr el-Bared.

Quoique le Hezbollah ne semble pas être directement responsable, un officiel de la défense israélien a fait remarquer que rien ne se passait dans le sud-Liban sans l’approbation du Hezbollah.

Le gouvernement israélien tient l’Etat libanais pour responsable de tout ce qui se passe sur le territoire libanais.

La grève des maîtres de conférence en mauvaise posture

Le comité des présidents d’université a déclaré mercredi 9 janvier qu’il avait requis auprès du Tribunal du travail un ordre d’injonction contre les maîtres de conférence qui sont en grève depuis plusieurs semaines.

Si le Tribunal donnait une réponse positive à la requête, tout maître de conférence qui continuerait la grève se mettrait par là-même hors-la-loi et s’exposerait à des sanctions.

Le Tribunal du travail donnera sa réponse dimanche 13 janvier. Telle est également la date fixée par le comité des présidents d’université pour annuler le semestre universitaire si les maîtres de conférence n’ont pas d’ici là mis un terme à la grève.

Le syndicat des maîtres de conférence a rejeté lundi 7 janvier une proposition de compromis présentée par le président du tribunal. Celle-ci avait été acceptée par le ministère des Finances.

Une grève avait également opposé le ministère des Finances au syndicat des enseignants du secondaire pendant 59 jours. Ceux-ci étaient retournés en cours après que le tribunal du travail avait présenté contre eux un ordre d’injonction les obligeant à reprendre le travail.

Lieberman va-t-il quitter la coalition gouvernementale ?

Les pressions sur le Shas et Israël Beitenou ont été ravivées mardi 8 janvier après que le Premier ministre Ehoud Olmert a déclaré que les questions clés - Jérusalem, les réfugiés, les frontières - seraient discutées au cours de la visite du président Bush en Israël.

Olmert a fait l’annonce au terme d’une réunion avec le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.

Les proches d’Olmert ont minimisé les déclarations du Premier ministre, ajoutant qu’ils ne s’attendaient pas à ce que Shas ou Israël Beitenou quittent le gouvernement.

Le Likoud et l’Union nationale-Parti national religieux ont appelé Shas et Israël Beitenou à honorer leurs engagements et à démissionner.

Avigdor Lieberman, le président d’Israël Beitenou, avait prévenu Olmert dimanche 5 janvier qu’il quitterait la coalition si les négociations sur les questions clés devaient commencer.

Les proches de Lieberman ont expliqué depuis que ces déclarations avaient été motivées par la volonté de prévenir Olmert, avant la venue de Bush, que l’adhésion d’Israël Beitenou au gouvernement et à la politique du gouvernement n’étaient pas un fait acquis.

Shas a répliqué qu’il n’avait jamais menacé de quitter le gouvernement si les négociations commençaient, mais seulement si un accord était trouvé avec les Palestiniens qui se ferait nécessairement, dans l’état actuel des choses, au détriment d’Israël.

© Jerusalem Post édition française

INTERNATIONAL

Une bombe explose au Liban

Une bombe a explosé mardi 8 janvier au passage d’une patrouille des Nations unies à Rmeileh près de Saïda dans le sud du Liban, blessant légèrement deux casques bleus, dont la nationalité n’a pas été précisée.

Selon Milos Strugar, un porte-parole de la Force intérimaire des Nations unies au Liban, un véhicule de la FINUL a été endommagé par l’explosion et ses deux occupants ont été « légèrement blessés » et hospitalisés.

Le Liban vit une période difficile et incertaine depuis que le président Emile Lahoud a terminé son mandat le 23 novembre sans que le parlement parvienne à élire un successeur.

La désignation d’un nouveau président est l’occasion d’un affrontement entre le gouvernement pro-occidental et l’opposition prosyrienne.

Les troupes de la FINUL, force internationale d’interposition qui dépend de l’ONU, ont été renforcées dans le sud-Liban après le retrait des troupes syriennes en 2006 et la seconde guerre du Liban.

Le Hezbollah, mouvement chiite financé par l’Iran, qui prône le terrorisme comme moyen d’action politique, est très présent dans cette région.

Nicolas Sarkozy a été brièvement hospitalisé le 21 octobre

Nicolas Sarkozy aurait effectué un bref séjour à l’hôpital du Val-de-Grâce le 21 octobre dernier dans le plus grand secret, pour y subir une intervention visant à traiter un abcès à la gorge, révèlent deux journalistes dans un livre sur Cécilia Sarkozy, dont Le Parisien/Aujourd’hui en France publie mercredi 9 janvier des extraits.

Selon les journalistes Denis Demonpion et Laurent Léger, auteurs de Cécilia. La face cachée de l’ex-première dame (Pygmalion), à paraître dans les prochains jours, l’intervention qualifiée de « bénigne » par Le Parisien/Aujourd’hui en France aurait consisté à résorber un « phlegmon avec staphylocoques dorés » consécutif à l’infection d’une angine mal soignée.

Un « cathéter pour favoriser l’action des antibiotiques par voie intraveineuse » aurait été posé. Le chef de l’Etat, affaibli par ce souci de santé, s’était envolé quelques heures après sa sortie de l’hôpital pour une visite d’Etat au Maroc.

« Pendant le voyage, Bernard Kouchner, l’ex-’French doctor’ passé ministre des Affaires étrangères, s’improvise infirmier. Il veille à la prise des antibiotiques du président », écrivent les auteurs.

Interrogé à la sortie du conseil des ministres, le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a implicitement confirmé cette hospitalisation : « Il n’y avait vraiment pas de quoi faire un secret, parce je sais de quoi il s’agit. Je vous assure que ce n’est pas une grosse dissimulation », a-t-il glissé dans la cour de l’Elysée.

Les services de Nicolas Sarkozy n’étaient pas en mesure de faire un commentaire mercredi matin.

Pendant la campagne, Nicolas Sarkozy s’était engagé à la plus grande transparence sur son état de santé en publiant régulièrement un bulletin pour rompre avec la pratique de ses prédécesseurs. « Je ferai de mon médecin une vedette », plaisantait-il le 2 mars 2007.

Par ailleurs, au cours de sa première grande conférence de presse depuis sa prise de fonction, le président Sarkozy a officialisé mardi 8 janvier sa liaison, qu’il a qualifiée de « sérieuse », avec la mannequin-chanteuse Carla Bruni.

Interrogé sur la date du mariage, annoncé par le Journal du dimanche pour le mois de février, il a déclaré que les journalistes en seraient informés après.

Le président Sarkozy a communiqué sur le sujet d’une manière décomplexée, déclarant qu’il voulait rompre avec les mensonges et l’hypocrisie de ses prédécesseurs, une allusion aux liaisons qui avaient été prêtées aux présidents Chirac et Mitterrand.

La Syrie et le Hamas alignés contre la visite de Bush

Le journal officiel Tishrin, publié en Syrie, déclare mercredi 9 janvier dans son éditorial que la tournée du président George Bush au Moyen-Orient est “vouée à l’échec” et que le président porte avec lui des “idées chaotiques”.

“Ces idées visent à renforcer le soutien à Israël, affaiblir les forces arabes de la résistance et accroître l’antagonisme dans les relations entre les Arabes et l’Iran pour justifier l’hégémonie américaine et sioniste dans la région”.

Le président Bush est arrivé en Israël mercredi 9 janvier vers midi pour encourager la relance du processus de paix israélo-palestinien relancé à l’inititaive des Etats-Unis lors de la conférence d’Annapolis en novembre.

Après un séjour de 3 jours en Israël, qui permettra à Bush de s’entretenir avec les acteurs principaux du conflit, le président doit poursuivre sa tournée au Bahreïn, au Koweit, dans les Emirats arabes unis, en Arabie-Saoudite et en Egypte.

De violentes manifestations, au cours desquelles les drapeaux américains et israéliens ont été brûlés, ont été organisées par le Djihad islamique et le Hamas à Gaza.

Le chef du Hamas, Ismaël Haniyé, avait envoyé une lettre au président français Nicolas Sarkozy lundi 7 janvier dans laquelle il l’invitait à intervenir dans la région. Il soulignait les efforts du président français déployés à la conférence des donateurs de Paris, destinée à collecter des fonds pour les Palestiniens, et l’influence positive de ses initiatives en faveur du peuple palestinien.



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