Selon des officiels aux États-Unis, les récentes cyberoffensives et les menaces de frappes aériennes n’ont fait que précipiter la course vers la bombe atomique de Téhéran.
Il a du mérite, Rafael Grossi. Dans un ultime effort, le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) était ce mardi à Téhéran dans l’espoir de trouver un « terrain d’entente » avec l’Iran et l’inciter à respecter à nouveau les termes de l’accord nucléaire international scellé en 2015. Depuis des mois, en effet, les inspecteurs de l’ONU se voient barrer l’accès à des sites d’enrichissement d’uranium. Or, la production aurait augmenté de manière alarmante, si l’on en croit un rapport présenté par l’agence la semaine passée.
Washington demande à Israël de cesser ses attaques en Iran
Tribune de Genève
Article mis en ligne le 23 novembre 2021