À travers la Syrie, l’Iran n’est qu’à une barrière frontalière d’Israël
Times of Israël en français | AVI ISSACHAROFF
Article mis en ligne le 30 novembre 2020
Via le Hezbollah, son mandataire libanais, Téhéran a réussi à ouvrir un deuxième front contre l’État juif ; à Gaza, le Hamas se sert du coronavirus pour éviter les problèmes
Au cours de l’été 2018, il semblait qu’Israël pouvait respirer tranquillement en ce qui concerne la présence de l’Iran de l’autre côté de la frontière nord. Les Russes, nous a-t-on dit, avaient réussi à négocier un accord entre l’Iran, la Syrie et Israël selon lequel les forces iraniennes et du Hezbollah se retireraient à quelque 70 kilomètres de la frontière sur le plateau du Golan.
Apparemment, ce ne fut pas le cas.