La normalisation des relations entre Israël, les Émirats arabes unis et Bahreïn n’a pas surpris les Palestiniens. À Ramallah, les réactions des responsables trahissent les difficultés à faire évoluer leur stratégie face aux nouvelles préoccupations de leurs alliés.
La signature des « accords d’Abraham », le mardi 15 septembre, s’est jouée sur trois scènes. À la Maison-Blanche, où Benyamin Nétanyahou s’est affiché tout sourire aux côtés du président américain et des ministres des affaires étrangères émirien et bahreïni. En Israël, où au même moment, les restaurateurs israéliens brisaient leurs assiettes au sol pour protester contre le reconfinement du pays. Et puis en Cisjordanie et à Gaza.
Accord Israël-Emirats-Bahreïn : les Palestiniens « trahis » et impuissants
Salomé Parent-Rachdi | La croix.com
Article mis en ligne le 21 septembre 2020