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Par Adi Schwartz et Einat Wilf | mabatim.info
mercredi 16 septembre 2020
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Il y a vingt ans, en juillet 2000, nous étions remplis d’espoir lorsque Ehud Barak, Premier ministre israélien et chef du parti travailliste, est parti à Camp David pour négocier un accord de paix final avec les Palestiniens. Après plus d’une décennie de percées historiques inimaginables auparavant – l’effondrement de l’Union soviétique, la chute du mur de Berlin, la fin de l’apartheid en Afrique du Sud et l’accord du vendredi saint en Irlande du Nord – nous pensions être arrivés au moment historique où la paix avec les Palestiniens pourrait enfin être à portée de main.